Une délégation française est allée à Toronto pour s’inspirer d’un système où une chance est donnée aux petits délinquants drogués.
Face à la généralisation du P2P, le petit pirate n’est plus « dans les priorités » de la GRC, qui "s’attaque principalement aux crimes contre la propriété intellectuelle, qui ont un impact sur la santé et la sécurité des consommateurs [médicaments, appareils électriques, etc.], mais aussi à ceux qui touchent le crime organisé"