Faisant directement référence à Alice au pays des merveilles, le phénomène inquiète de plus en plus et touche particulièrement les plus jeunes. Plusieurs entités ont entamé une lutte pour contrer cette menace. ”Le terrier de lapin”, ce nom peut paraître de prime abord amusant. Pourtant, il désigne un phénomène sur les réseaux sociaux qui inquiète...
«Puis-je vous demander une copie de tous vos emails, de vos messages et photos sur Facebook, et de tous les fichiers sur votre ordinateur ? J’aimerais tout savoir sur votre vie privée.»
Maintenant que les utilisateurs sont captifs, que les concurrents ont quasiment disparu, que les business indépendants ont été acculés à la faillite ou rachetés, on peut exploiter l’utilisateur jusqu’au trognon.
Premièrement, en augmentant les tarifs et en supprimant les programmes gratuits. Les utilisateurs sont habitués, migrer vers un autre service est difficile, la plupart vont payer. Surtout si cette hausse est progressive. L’objectif n’est pas d’avoir de nouveaux utilisateurs, mais bien de faire cracher ceux qui sont déjà là. On va donc leur pourrir la vie au maximum : tarifs volontairement complexes et changeant, rebranding absurdes pour justifier de nouveaux tarifs, blocage de certaines fonctionnalités, problèmes techniques empêchant la migration vers un autre service, etc.
En second lieu, on va bien entendu stopper tout investissement dans l’infrastructure ou le produit. Un maximum d’employés vont être licenciés pour ne garder que l’équipage minimal, si possible sous-payé. Le support devient injoignable ou complètement incompétent, la qualité du produit se dégrade tout à fait.
Bref, c’est la merdification.
C’est destructif ? C’est bien l’objectif.
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Si les conséquences pour le client sont évidentes, elles le sont encore plus pour le travailleur. S’il n’a pas été viré, le travailleur doit donc désormais travailler beaucoup plus, dans une infrastructure qui part à vau-l’eau et sans aucune perspective autre que de se faire insulter par les clients.
Les « faux indépendants » (livreurs Deliveroo, chauffeurs Uber, etc.) voient fondre leurs marges alors que les règles, elles, deviennent de plus en plus drastiques et intenables. Le terrifiant spectre du chômage nous fait prendre en pitié les employés forcés de nous fournir des services merdiques. Nous les remercions. Nous leur mettons des étoiles par pitié, parce que sinon ils risquent de se faire virer. Et nous payons pour un service de merde. En l’acceptant avec le sourire. Ou alors nous les engueulons alors qu’ils ne peuvent rien faire.
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Voici un résumé de ce qui est arrivé à Twitter depuis son rachat par Musk en octobre 2022. Accrochez-vous, c’est édifiant.
Extrait : Depuis octobre, Musk a licencié ou fait partir 75% des salariés de Twitter : d’environ 8000, ils ne sont désormais plus que 1500. Fin décembre, il a fait fermer sans préparation, puis rouvrir immédiatement, l’un des trois data centers de l’entreprise — une décision qu’il qualifie lui-même de « catastrophique » (source). Les équipes de modération, de lutte contre la pédopornographie et de sureté de la plateforme ont été décimées. Certaines des personnes licenciées ont fondé des entreprises rachetées par Twitter. Lors du rachat, elles ont négocié des clauses garantissant des versements de plusieurs dizaines de millions de dollars en cas de licenciement. Twitter a licencié au moins trois de ces personnes (Esther Crawford, Martijn de Kuijper et Haraldur Thorleifsson), s’exposant au paiement d’indemnités de plusieurs centaines de millions de dollars. Twitter a arrêté de payer nombre de ses fournisseurs, provoquant une série de procès.
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Floor796 is an ever-expanding animation scene showing the life of the 796th floor of the huge space station! The goal of the project is to create as huge animation as possible, with many references to movies, games, anime and memes.
All scenes are drawn in a special online editor right in the browser by one person, as a hobby. You can watch the process of drawing some blocks on youtube.
Les nombreuses attaques révélées par Amnesty International et des partenaires de la société civile ces dernières années ont démontré que l’industrie de la cybersécurité représentait une grave menace pour les défenseur·e·s des droits humains et la société civile dans le monde. Les préjudices systémiques de la cybersurveillance croissante et non réglementée vont bien au-delà du célèbre logiciel espion Pegasus élaboré par NSO Group.
Quad9 est un service DNS récursif ouvert, gratuit et confidentiel. Il est exploité par la Fondation Quad9, basée en Suisse. Pourquoi et comment l'utiliser.
La configuration recommandée avec blocage des menaces de type malware et la validation DNSSEC est la suivante
La configuration renforcée avec ECS est :
La configuration non sécurisée (pas d'ECS, pas de blocage de menaces et de validation DNSSEC), pour les experts, est :
The Open Observatory of Network Interference (OONI) is a global community measuring internet censorship around the world. Run OONI Probe to detect internet censorship. Use OONI Explorer to track internet censorship worldwide in near real-time.
Liberties, in cooperation with Access Now and EDRi, published a policy guide on how to tackle disinformation while protecting human rights.
The report sets out certain actions that need to be taken in order to achieve this goal:
Freenode staff have stepped down. The network that runs at freenode.org/net/com should now be assumed to be under control of a malicious party. Andrew Lee will likely gain control over the NickServ database at some point.
I recommend that you move to libera.chat as soon as possible, as the former Freenode staff has left the network that exists on the Freenode domains, and so they can no longer guarantee the safety of your information or community there. Basically, libera.chat is the continuation of Freenode.
Ce dispositif adopté en 2016 est utilisé par la quasi-totalité des grandes entreprises américaines pour traiter les données personnelles (identité, comportement en ligne, géolocalisation…) de leurs utilisateurs européens.
La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a annulé, jeudi 16 juillet, l’accord dit « Privacy Shield » (« bouclier de protection des données ») qui permet aux entreprises du numérique de transférer légalement les données personnelles de citoyens européens aux Etats-Unis.
Naomi Klein: How big tech plans to profit from the pandemic | Coronavirus outbreak | The Guardian
Enseignement à distance, 5G, télémédecine, drones, commerce en ligne généralisé… Le “New Deal numérique” que les géants de la Silicon Valley nous promettent pour faire face au risque de pandémie menace profondément nos démocraties, s’inquiète Naomi Klein dans cet article publié par le site d’investigation The Intercept. Pour elle, loin de la dystopie high-tech qui nous est proposée, il faut au contraire repenser Internet comme un service public au service des citoyens.
Company’s work in 68 countries laid bare with release of more than 100,000 documents.
An explosive leak of tens of thousands of documents from the defunct data firm Cambridge Analytica is set to expose the inner workings of the company that collapsed after the Observer revealed it had misappropriated 87 million Facebook profiles.
Gueule de bois. C’est le sentiment que nombre d’entre nous avons aujourd’hui. Nous avons fait la fête sur les promesses d’un nouveau monde. Nous pensions que les technologies en général et l’Internet en particulier signaient la promesse d’une nouvelle espérance. Nous imaginions que la technologie était par essence porteuse de sens. Qu’elle pouvait se substituer aux règnes des idéologies déchues. Internet était prophétique. C'était la multiplication des petits pains avec le porno en plus. Puis vint l’impensable.
Chrome, de navigateur internet novateur et ouvert, est devenu au fil des années un rouage essentiel de la domination d’Internet par Google.
En théorie, on pourrait fermer les yeux sur ces mauvaises pratiques si l’entreprise impliquée avait un bon bilan sur la gestion des données personnelles. En pratique cependant, Google est structurellement flippant, et ils n’arrivent pas à changer.
Il y a 15 ans, on avait l'impression que les batailles autour du droit d'auteur étaient les plus importantes. Elles continuent à l'être : c'est essentiel de permettre aux individus d'être créatifs, de permettre aux communautés de toucher, de sentir, et de participer à l'élaboration du contexte culturel dans lequel elles évoluent. Mais aujourd'hui, la démocratie fait face à une menace tellement profonde qu'il est difficile de maintenir la même attention au sujet des droits d'auteur à l'ère numérique. (...)
Aujourd'hui, Facebook et Google accumulent tellement de données sur nous et peuvent effectuer tellement d'expériences sur les individus que le débat autour de la vie privée et du marketing comportemental me semble immensément plus urgent.
Par ailleurs, il existe à présent, via Spotify ou Netflix, de nouveaux moyens de monétiser des oeuvres culturelles. Cela devient ridicule de dire qu'il faut protéger plus efficacement le droit d'auteur. La création vidéo connaît un véritable âge d'or, sans aucune de ces protections ! C'est ce que les défenseurs des communs culturels disent depuis le début : si les entreprises parviennent à mettre en place des systèmes d'abonnements relativement simples et abordables, les gens payeront, et seront ravis de le faire ! Et il n'y a jamais eu autant de créativité, de variété, et de marchés de niche pour la vidéo ou la musique qu'aujourd'hui.
By requiring Internet platforms to perform automatic filtering all of the content that their users upload, Article 13 takes an unprecedented step towards the transformation of the Internet, from an open platform for sharing and innovation, into a tool for the automated surveillance and control of its users.
Moreover, because these exceptions are not consistent across Europe, and because there is no broad fair use right as in the United States, many harmless uses of copyright works in memes, mashups, and remixes probably are technically infringing even if no reasonable copyright owner would object. If an automated system monitors and filters out these technical infringements, then the permissible scope of freedom of expression in Europe will be radically curtailed, even without the need for any substantive changes in copyright law.
En 1996, l'essayiste américain John Perry Barlow publiait sa «Déclaration d’indépendance du cyberespace», devenue emblématique des cyberutopies libertaires. Vingt ans après, Etats et entreprises ont repris la main, mais l'imaginaire de réinvention sociale n'a pas disparu.
Une interview fort intéressante de Benjamin Bayart, sur l'internet, les question autour de la vie privée, de la surveillance, la neutralité du net.
Liberties et EDRi ont conjointement pris l'initiative de rédiger une lettre ouverte demandant aux député.es du Parlement européens de retirer l'Article 13 du projet de Directive relative au copyright. La lettre a recueilli la signature de 57 organisations de défense des droits de l'homme et des droits numériques.
La Commission européenne a déposé une proposition qui obligerait les entreprises du Net à partager et conserver le contenu généré par les utilisateurs.trices, tels que les vidéos ou photographies publiés sur les différentes plateformes de partage, ou encore les sites de création littéraire, afin de filtrer ce qui y est publié sur ces sites. Les signataires estiment que ce projet de directive entraînerait un tri et un retrait excessif des contenus, ainsi qu'une surveillance accrue des activités des internautes. Ces conditions constituent une violation des libertés d'expression et d'information, ainsi qu'une atteinte à la vie privée. Aussi les organisations demandent-elles aux eurodéputé.es de rejeter l'Article 13 du projet de directive.
‘Surveillance is the business model of the internet,’ Berkman and Belfer fellow says
Troy Hunt est l'expert en sécurité d'Haveibeenpwned.com. Data News s'est entretenu avec lui à propos de son site bourré d'adresses e-mail ayant pris la clef des champs, mais aussi de la façon dont il faut faire face à des fuites de données et comment se connecter à des sites, sans divulguer ses données personnelles.
Alors que les géants du Net ont rencontré mercredi le futur président des Etats-Unis, il y a urgence à organiser au niveau international une régulation citoyenne et éthique du monde connecté. Avant que ce dernier ne se transforme en cauchemar.
Pour le professeur de droit à Harvard et penseur du net, il y a urgence à reconstruire des espaces communs de discussion.
Le bloggeur IT Quincy Larson n'en croit pas ses yeux de l'essor de Facebook: 'Zuckerberg ne s'arrêtera pas, lorsque Facebook dominera notre vie. Il veut que Facebook devienne notre vie.'
1) Tu ne consultes pas une page Internet, tu la copies
2) Mon navigateur web ne cuisine pas la même page web que le tien.
3) Le streaming n’existe pas
4) Quand tu regardes une page web, elle te regarde aussi.
5) Pas besoin d’un compte Facebook/Google/etc pour qu’ils aient un dossier sur toi.
6) Un email est une carte postale
7) Le cloud, c’est l’ordinateur d’un autre.
8) Facebook est plus fort que ma volonté.
9) Internet est ce que j’en ferai
10) C’est pas la fin du monde, juste le début.
A lire pour comprendre...
Flash Player est mort. Son temps est révolu. Il bug. Il plante souvent. Il requiert sans cesse des mises à jour de sécurité. Il ne fonctionne pas sur la majorité des appareils mobiles. C'est un fossile, hérité de l'ère des standards fermés et du contrôle unilatéral des sociétés privées sur les technologies du Web.
Notre objectif : Que le monde entier désinstalle le plugin Flash Player de leur navigateur de bureau.
En quoi les « géants du Net » seraient-ils plus des « califats numériques complices tacites, collaborateurs passifs de Daech » que les loueurs de voiture ou de chambres d’hôtel, opérateurs téléphoniques, fournisseurs d’accès Internet, vendeurs de pizzas, de couteaux et d’armes démilitarisées ?
Nous laissons derrière nous des centaines d'empreintes numériques chaque jour. Que sont-elles et comment les créons-nous?
In the EU’s Single Market we would never accept to show our passport when shopping on a high street or to pay a different price for a loaf of bread according to where we come from. Unfortunately this happens too often when going online.
http://www.beuc.eu/geoblocking
Peut-être l’avez-vous remarqué si vous fréquentez les sites des médias dominants : nombre d’entre eux enjoignent leurs lecteurs de ne pas utiliser de logiciels bloqueurs de publicité et d’accepter de se farcir la tête des annonces dont ils polluent leurs pages d’informations. (...) Bien sûr, ces médias, si prompts à obéir aux désirs de leurs propriétaires, n’ont pas l’idée d’un discours critique sur la publicité. Celle-ci, pour l’essentiel, vise un objectif simple : faire acheter à ses cibles des objets ou des services dont elles n’ont pas nécessairement besoin. Du point de vue écologique, qui devrait prédominer aujourd’hui, pousser à la consommation matérielle est contraire à l’intérêt collectif : c’est vers la sobriété et renouer des liens humains authentiques qu’il nous faut au contraire aller.
"La position d'Apple face au FBI est beaucoup plus fondamentale qu'on ne l'imagine. Il s'agit de la responsabilité qu'a une entreprise de protéger les droits de l'homme face aux États qui peuvent être tentés de les violer. Explications."
Bel argumentaire. La seule chose qui me dérange dans cet article est qu'Apple passe pour le défenseurs des droits fondamentaux, alors qu'il ne le fait probablement pas que pour des raisons philosophiques. Peut-être aurait-on pu souligner le travail d'ONG, de citoyens, de porteurs de logiciels libres qui œuvrent à cette cause en toute intégrité*.
*Apple fait de cette affaire un outil de communication à son avantage, mais n'en reste pas moins une entreprise qui cherche à maximiser ses profits, à enfermer des utilisateurs dans un écosystème fermé, tout en maîtrisant parfaitement les cycles de l'obsolescence programmée (logicielle et matérielle) de ses produits...
Pour en savoir plus : http://liens.effingo.be/?searchtags=apple
The socialist and filesharing pioneer Peter Sunde is not optimistic about the open internet : The internet is shit today. It’s broken. It was probably always broken, but it’s worse than ever.
The European Commission has launched a consultation on the role of “Internet platforms” – which it basically defines as pretty much any online services you can think of!
https://ec.europa.eu/eusurvey/runner/Platforms/
The consultation is of crucial importance because it will help define the rules that govern how you use the Internet. It will be crucial for new rules on important issues such as online law enforcement, online privacy, open data and copyright.
The right to hyperlink, the right to privacy, the right not to have your uploads deleted by YouTube or Facebook. These are just some of the issues at stake.
It is your internet. These are your rights. This is your one chance.
In order to make things easier, EDRi has created an “answering guide” – an online tool with the European Commission’s questions and our analysis to guide your answers. The guide can be found here: http://edri.limequery.org/index.php/346935/lang-en
"Coup sur coup, YouTube et Disney ont annoncé, mercredi 21 octobre, le lancement de services de vidéo à la demande illimitée par abonnement sur Internet."
"Vous avez aimé les aventures du petit Uber au pays des taxis ? Vous adorerez la saison 2, intitulée « YouTube et ses amis au pays des télés ». Attention, certaines scènes pourront choquer les âmes sensibles. Il y aura du sang et des larmes, sûrement un peu de sexe, mais aussi de la tendresse. Winnie l’Ourson et Blanche-Neige s’en chargeront."
"Privacy International is committed to fighting for the right to privacy across the world."
"Selon le chercheur et essayiste Evgeny Morozov, la technologie sert le néolibéralisme et la domination des Etats-Unis. « Il faut considérer la Silicon Valley comme un projet politique et l’affronter en tant que tel », dit-il."
"On pourrait penser que tout a déjà été dit sur ce sujet: « trop de publicité tue la publicité, qui va devoir survivre en devenant du contenu sponsorisé, parce qu’il faut bien payer les créateurs de contenu, et puis si vous n’aimez pas la pub vous n’avez qu’à ne pas nous lire ! » (l’ai-je bien résumé ?).
Il me semble que tous ces articles négligent un aspect pourtant fondamental (mais tu vas devoir te taper tout l’article pour le connaître)."
"Paris - Les députés ont adopté jeudi une proposition de loi pour légaliser la surveillance des communications internationales, c'est-à-dire l'activité de la DGSE, qui resteront soumises à moins de contrôle que les interceptions effectuées en France." Une main mise sans précédent du politique sans justice sur les droits et libertés.
"C’est un débat déjà ancien et qu’on croyait devenu de basse intensité, mais qui prend ces derniers temps une acuité nouvelle : la publicité sur le Web, toujours plus intrusive, toujours plus vorace, toujours plus dévoreuse de notre confidentialité, est-elle une sorte de mal nécessaire ou une pure nuisance à éradiquer ?"
"Coups de gueule sur YouTube, communautés d'entraide sur les forums, témoignages sur les blogs: handicapés en société, les autistes Asperger ont trouvé, via internet, un moyen de s'exprimer et de se créer une identité."
« La révolution numérique est derrière nous. Désormais, nous assistons simplement à une ultracapitalisation numérique. »
« Dans un immeuble de Saint-Pétersbourg, des centaines de jeunes employés s’activent jour et nuit pour inonder la Toile russe de messages pro-Poutine et troller des messages violemment anti-Obama sur des sites américains.»
"L’association EDRi (European Digital Rights) est une fédération rassemblant plus d’une trentaine d’organisations pour défendre les droits et libertés numériques au niveau européen. Elle publie une lettre d’information intitulée EDRi-Gram, dont le 300ème numéro adopte une démarche orignale, puisqu’EDRi a demandé à plusieurs auteurs et activistes de se livrer à un exercice de science-fiction juridique en répondant à la question : à quoi ressembleront les droits et libertés numériques en 2025 ?"
La Fondation Mozilla, dans son communiqué, dénonce le glissement de nos démocraties, en l’occurrence l'état français, vers des systèmes, qu'il y a peu, auraient été qualifiés de totalitaires : surveillance généralisée hors contrôle judiciaire, interception des communications, stockage des analyses robotisées des échanges et des données,...
C'est vraiment préoccupant et cela nous concerne tous. Le législateur belge n’échappera pas à cette logique si nous ne sommes pas plus vigilant.
Lire également :
http://rue89.nouvelobs.com/2015/04/15/lalgorithme-gouvernement-sera-intrusif-inefficace-prouve-258672