Ne plus dire «cycliste» mais «personne qui fait du vélo» fait avancer les politiques de transports | Slate.frhttp://www.slate.fr/story/97893/association-cyclistes-seattle-langage
"L’argument des «cyclistes», heu pardon, des personnes qui en tant que parent ou qu'habitant du quartier pratiquent le vélo, est de ne plus associer les partisans des mobilités douces à des «tribus». Contre ce tribalisme qui avait tendance à créer un clivage fort entre les automobilistes et les cyclistes, le mode de transport n’est plus qu’une partie de l’identité de chacun, et non ce qui la définit entièrement."