"Le nouveau "plan d'aide" endettera encore davantage la Grèce sans lui permettre de réellement sortir de l'ornière. Il n'a pour fonction que de "couvrir" les non-dits sur la dette des dirigeants européens."
"Dans ce document, le Fonds assure pourtant que la dette grecque est « totalement non viable » [...] Elle ne peut être viable qu’« avec des mesures d’allégement », ce que le premier ministre Alexis Tsipras a demandé, mais que l’Allemagne a refusé."
"Euh… une dernière p’tite question M’sieurs-Dames. Oh trois fois rien, un dernier p’tit détail et puis-je vous laisse. Je sais que vous êtes très occupés ces temps-ci !..."
Compte rendu de la première audition organisée par la Présidente du parlement grec et la Commission pour la vérité sur la dette grecque
%!@!*$€€!µ** !
Le président de l'Islande : "Nous avons pu nous remettre assez rapidement parce que nous n’avons pas tenu compte des recommandations de l'UE et du FMI, qui voulaient que nous mettions en œuvre des mesures d'austérité. Maintenant, il semble que la CE avait totalement tort dans le cas de l'Islande, pourquoi les recommandations qu’elle à faites à d'autres pays seraient-elles bonnes? Les intérêts économiques d'un pays ne doivent en effet pas être confondus avec le bon fonctionnement d'une démocratie ».
"Le 3 janvier, l’économiste en chef du Fonds monétaire international (FMI) concédait qu’une « erreur » avait conduit l’institution à sous-estimer l’impact négatif des mesures d’austérité qu’elle prône par ailleurs. Ce faisant, il apportait une caution inattendue à l’analyse que présente ici M. Alexis Tsipras, porte-parole de Syriza, la principale force de la gauche grecque."