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#EUGoingDark est notre label pour un groupe de travail de l'UE mis en place par la Commission européenne en juin 2023. Son nom officiel est le « Groupe de haut niveau sur l'accès aux données pour une application efficace de la loi » ( site web , acronyme ADELE).
Il est coprésidé par la Commission européenne et la présidence tournante du Conseil de l’UE, qui sont les gouvernements des États membres de l’UE.
Officiellement , le groupe est chargé d’élaborer des propositions de stratégies politiques et de lois sur les défis de l’application de la loi numérique dans un processus ouvert.
En réalité , #EUGoingDark est une forge de surveillance non transparente : les forces de police et les gouvernements ignorent la société civile et veulent réintroduire la conservation des données et saper le cryptage sans être dérangés.
En bref : des négociations préliminaires antidémocratiques sont menées dans l’ombre, qui serviront de modèle aux futures lois de surveillance de la prochaine Commission européenne.
Les filtres Berkey sont-ils vraiment les plus efficaces et durables de la planète ou s’agit-il de la dernière arnaque de l’eau ?
Les data centers présents sur le sol belge ont consommé plus de 4% de l’électricité du pays en 2024. À l’horizon 2035, leurs besoins en électricité devraient plus que tripler, et pourraient menacer l’équilibre du réseau.
Discover why Nextcloud file uploads for Android app are not working properly, and how Google’s app store rules are hurting Nextcloud users.
Malgré de multiples appels depuis la mi-2024, Google a refusé de rétablir l'autorisation, bloquant les téléchargements automatisés de fichiers Nextcloud pour des millions d'utilisateurs.
Soyons clairs : vous tous, utilisateurs, avez un client Nextcloud Files moins performant, car Google l'a voulu ainsi. Nous comprenons et partageons votre frustration, mais nous ne pouvons rien y faire.
Cette brochure est un appel à l’action pour que le travail social devienne un acteur central de cette nécessaire révolution pour répondre à cette urgence planétaire. Il ne s’agit pas d’une simple adaptation, mais d’un basculement complet de paradigme. Les solutions d’hier ont engendré les problèmes d’aujourd’hui. Les problèmes d’aujourd’hui doivent devenir les solutions de demain. Les travailleurs sociaux détiennent les clés de cette transformation. Leurs pratiques quotidiennes révèlent une vérité ignorée : ceux que nos sociétés marginalisent – les invisibles, les oubliés, les exilés – sont en réalité des experts de la résilience et de la décroissance. À force de vivre en marge des normes de la performance économique et sociale, ces experts ont développé des savoir-faire cruciaux pour construire des modèles alternatifs, loin de la surconsommation et de l’exploitation sans fin des ressources.
Incendies d'écoles, alertes à la bombe, menaces de mort. En septembre 2023, les réactions à un programme d’Éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle terrorisent l’enseignement francophone. Retour sur une crise qui a menacé l'État de droit.
Les attaques de l’extrême droite subies par le pédagogue Célestin Freinet sont analysées par l’historienne Laurence De Cock dans son ouvrage Une journée fasciste. Alors que les pressions sur le monde éducatif se multiplient aujourd’hui, elle prolonge pour Éduquer sa réflexion sur les résonances du passé dans le présent.
« J'ai également voulu alerter sur le fait que les enseignants ne sont jamais à l'abri des sanctions politiques. En écrivant le livre, j'ai été frappée par certaines résonances avec des événements contemporains. La répression qu'a traversée le couple Freinet dans les années 1930 n'est malheureusement pas un cas isolé dans le temps. En France, aujourd'hui encore, beaucoup font face à des pressions similaires dans l’enseignement.»
Lieux, âges, coordonnées mais aussi voix, visages ou contenus postés sur les réseaux sociaux… Collecter les données...
"Pour des motifs discutables, des individus, des groupes et des lieux sont étiquetés comme des menaces potentielles", écrit la Ligue des droits humains. "Cela peut conduire à des mesures préventives punitives, telles que des privations de liberté injustifiées. Cela érode le principe essentiel selon lequel les individus sont considérés comme innocents jusqu’à ce que leur culpabilité soit prouvée, et pose un grave risque d’erreurs judiciaires".
Les pédiatres et les psychiatres recommandent de ne pas avoir une utilisation régulière du smartphone avant 15 ou 16 ans, le système nerveux et visuel étant encore trop sensible avant cela.
Si une limite d’âge n’est pas réaliste pour tout le monde, il semble important de retarder au maximum l’utilisation quotidienne et régulière du smartphone. Lorsque votre enfant devient autonome, privilégiez un « dumbphone », un simple téléphone lui permettant de vous appeler et de vous envoyer des SMS. Votre enfant arguera, bien entendu, qu’il est le seul de sa bande à ne pas avoir de smartphone. Nous avons tous été adolescents et utilisé cet argument pour nous habiller avec le dernier jeans à la mode.
Une étude internationale a examiné la susceptibilité à la désinformation chez plus de 66 000 personnes dans 24 pays en utilisant le Test de Susceptibilité à la Désinformation (MIST).
La Génération Z a obtenu les pires résultats au test, tout en évaluant sa propre capacité à détecter la désinformation avec la plus grande justesse. Cette étude fournit ainsi le premier profil systématique et global de la vulnérabilité à la désinformation et vient corroborer des résultats plus anciens. Selon une étude de l’Université de Cambridge publiée le 29 juin 2023, les 18-29 ans, pourtant très à l’aise avec les outils numériques, sont les plus vulnérables aux fake news.
Testée sur plus de 8 000 participants et utilisée par YouGov aux États-Unis, l’enquête montrait que seuls 11 % des jeunes adultes obtiennent un score élevé au MIST, contre 36 % des plus de 65 ans. Plus le temps passé en ligne augmente, plus la capacité à distinguer le vrai du faux diminue. Les utilisateurs de Snapchat, TikTok ou Truth Social figurent parmi les plus perméables à la désinformation.
via Newsletter Conspiracy Watch
Ce livret illustré explique aux enfants les différentes formes de violences et les conséquences qu’elles peuvent avoir sur elles/eux.
Tristesse, peur, angoisse, colère, isolement... Il leur permet d'identifier leurs émotions après avoir vécu des situations difficiles (violences physiques, morales, sexuelles, menaces, ...).
➡ Il explique les causes et conséquences de ces violences
➡ Il offre des conseils pour apprendre à se protéger
➡ Il encourage à demander de l'aide quand on en a besoin
👩👧👦 Un guide d'accompagnement est également téléchargeable.
📚 À télécharger sur www.memoiretraumatique.org
Un outil de l'Association Mémoire Traumatique et Victimologie
Cachets de Ritaline, microdoses de LSD, rails de cocaïne : le travail sous stimulants gagne du terrain. Face à la pression et à la peur de décrocher, de plus en plus de salariés misent sur la chimie. Enquête sur une normalisation silencieuse.
« De plus en plus de salariés se sentent contraints de recourir à ces substances pour affronter un environnement professionnel stressant et toxique, pour ne pas décrocher, observe Jean-Victor Blanc. On accuse la drogue, mais pour comprendre ces usages, il faut aussi regarder du côté du monde du travail. » Dans certaines entreprises, la prise de stimulants s'inscrit dans une culture où la performance l'emporte sur la santé. « Dans mon entreprise, la question n'est plus de savoir si les gens prennent des boosters chimiques, mais combien le font, demande Mathieu. Au bureau, on s'échange des boîtes en toute discrétion, on se refile des noms de médecins plus arrangeants, on normalise ce qui, il y a encore quelques années, aurait été impensable. »
L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) souhaite alerter les professionnels de santé sur le risque d’interaction entre cannabidiol (CBD) et médicaments.
Informations pour les patients :
Si vous prenez des médicaments et que vous utilisez ou envisagez d’utiliser des produits contenant du CBD à des fins de bien-être, signalez-le à votre médecin. Il en tiendra compte pour votre traitement.
Si vous ressentez des effets indésirables alors que vous prenez du CBD et des médicaments, ou si votre traitement semble agir différemment (plus ou moins fort par exemple) depuis que vous consommez du CBD, il y a peut-être une interaction entre le CBD et votre traitement. Contactez votre médecin ou demandez conseil à votre pharmacien.
Ces effets peuvent se produire quelle que soit la forme sous laquelle vous consommez du CBD (bonbons, gâteaux, tisanes…), que vous ayez commencé à en prendre depuis quelques heures ? ou il y a plusieurs mois, et quelle que soit la fréquence de votre consommation.
Si vous ressentez des nausées, diarrhées, vertiges, somnolence, fatigue, maux de tête, ou si vous avez des idées et comportements suicidaires, ou une crise d’épilepsie après la consommation d’un produit contenant du CBD, arrêter de le consommer et consultez votre médecin.
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Topics covered:
✔️ Definitions, key concepts and sources of human rights
✔️ Human rights and drug use in practice
✔️ Human rights aspects concerning health and treatment
✔️ Human rights aspects at different stages of the administration of justice
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Quand tu lis ce qu'une direction d'une grosse implantation scolaire, dans la plus grande ville de Wallonie, recommande aux parents et aux ados, pour lesquels il y aurait, ne serait-ce qu'une suspicion de consommation de substance, tu te dis que la route est encore longue.
La proposition hallucinante de la direction : soumettre ces mineurs à des tests de dépistage...
Ainsi, on découvre que tout ce qui relève des sciences de l'éducation, de la psychologie de l'enfance et de l'adolescence, mais aussi et surtout en matière de prévention des assuétudes, semble ignoré au plus haut niveau, alors que tous les professionnels de l'enseignement et de l'éducation devraient être pro sur la question.
C'est juste indécent.
Est-ce qu'ils savent de quoi ils parlent? De ce que revêt l'usage de substances, - a fortiori à l'adolescence - et de comment y répondre en tant qu'adulte ?
Ce qui est GRAVE, c'est que proposer d'emblée des tests de dépistages à des enfants, c'est rompre unilatéralement toute possibilité de dialogue avec eux. C'est coller une étiquette (de délinquant, de malade,...), humilier, chosifier, rabaisser, soumettre au contrôle,...
En plus de cela, c'est les pousser à se méfier des adultes, ne plus leur faire confiance aux adultes (à leurs parents qui deviendraient complices de ces guets-apens...), à cacher davantage leur conso, mettre en place des stratégies d'évitement plus complexes (les poches d'urine clean, ça se trouve facilement...), à mentir, à tricher...
Les adultes - et tous les pro de l'enseignement, de l'éducation, de l'extrascolaire, du sport... - devraient toujours et avant toute chose être à l'écoute, être disponible et sensible pour eux.
Est-ce qu'ils sont au courant de l'état de la santé mentale des jeunes???
NB : les "descentes" de Police et contrôles généralisés arbitraires (avec ou sans chiens) dans les écoles ou dans les transports en commun (TEC, SNCB), sont tout autant délétères. En aucun cas, ces pratiques ne relèvent de la prévention en matière d'assuétude.
Ajout
En savoir plus :
- Drogue – Police – École : droits, questions et pistes : https://infordrogues.be/pdf/brochure201505-ecolepolice.pdf
- Fouilles policières « anti-drogues » dans les écoles : il est urgent… d’arrêter : https://infordrogues.be/pdf/ecole-police%20vlongue.pdf