2757 liens privés
Dans nos villes soumises à la prédation privée, les espaces encore libres se trouvent sur les toits et sous les sols : Altistes et Solistes s’en emparent pour les mettre en commun et faire sonner, tels riffs, les cordes intenses qui nous lient .
Macron est le spasme d’un système qui repousse son trépas, sa dernière solution, l’unique moyen de déguiser une continuité devenue intolérable au reste de la société
Nous interrompons les "solitudes" pour vous passer un message qui nous tient à cœur... - Mélakarnets
Les dessinateurs Mélaka et Reno publient sur internet la bande dessinée “L’Avenir en Commun ?” qui illustre le programme de la France insoumise, en se détachant du personnage de Jean-Luc Mélenchon pour se focaliser sur les idées et l’enjeu écologique.
Et si le débat autour de la post-vérité cachait un phénomène plus profond et plus inquiétant...
Le sujet des data brokers a également été abordé dans cet intéressant épisode de Vox pop:
http://info.arte.tv/fr/data-brokers-la-grande-manipulation
Un autre article sur le sujet :
http://www.slate.fr/story/136199/trump-brexit-cambridge-analytica
Un pays qui arrive systématiquement en tête des classements mondiaux des embouteillages ne peut se permettre de jouer en dernière division pour les transports en commun. Le manqué d’intérêt politique est dès lors d’autant plus flagrant.
Berlin, November 21, 2016 – Today, the beta version of OpenBudgets is officially released to the public.
The Horizon 2020-funded project seeks to advance transparency and accountability in the fiscal domain by providing journalists, CSOs, NGOs, citizens and public administrations with state-of-the-art tools needed to effectively process and analyze financial data.
Face aux hausses d'impôts que Barack Obama a mis en place lors de son second mandat, les très riches n'ont pas cherché à tout prix à y échapper, montre une étude de l'économiste Emmanuel Saez. Il en conclut qu’en dehors même de toute volonté redistributive, une hausse du taux marginal d’imposition des plus aisés représente un moyen efficace d’accroître les recettes fiscales. Car finalement, à part une minorité d’entre eux, les personnes à revenus très aisés ont l’air de supporter sans problème la hausse de leur taux d’imposition.
En Iran, les consommateurs de drogue sont considérés comme des menaces pour la révolution islamique. Selon l’ONU, trois personnes en lien avec la drogue sont exécutées chaque jour, en priorité parmi les opposants politiques.
Toutes les recherches sérieuses qui traitent des moyens de lutte efficace contre la drogue et se penchent sur le volet «répressif» de cette lutte reconnaissent unanimement l’inefficacité du recours à la peine de mort, qui en Iran n’est qu’un prétexte trop commode pour régler d’autres comptes.
Des pays comme le Danemark ou l’Irlande en ont tiré les conséquences et, refusant cette duperie, se sont retirés, à la demande d’ONG iraniennes, des programmes de l’UNODC à Téhéran. Combien de temps et combien d’exécutions sommaires faudra-t-il encore à leurs partenaires de l’Union européenne pour réaliser qu’à travers leur soutien financier à ces prétendus programmes de façade, c’est la répression aveugle contre des minorités oppressées notamment le peuple kurde qu’ils cautionnent et cela au mépris des droits de l’homme qu’ils prétendent promouvoir?
Le séisme de l’élection de Donald Trump aux Etats-Unis est d’autant plus fort que personne n’avait vraiment prévu un tel résultat. Jusqu’à la veille au soir, les sondeurs et prévisionnistes étaient confiants dans la victoire démocrate. Or, la réalité ne s’est pas conformée aux données. Que s’est-il passé et qu’est-ce que cela signifie ? Retour sur les 5 défis que l’élection de Trump a adressé aux nouvelles technologies.
« Pour le dire franchement, les médias ont raté le sujet, a ainsi estimé Margaret Sullivan, éditorialiste média au Washington Post. Au final, un large nombre d'électeurs voulaient quelque chose de nouveau. Et bien qu'ils l'aient crié, hurlé, la plupart des journalistes n'ont pas écouté. Ils ne l'ont pas saisi. »
C’est, pour le dire autrement, proprement dramatique. Où sont les journalistes s’ils n’entendent pas leurs contemporains crier et hurler ? Il va leur falloir abandonner un instant leurs claviers et leurs écrans. Et (ré)apprendre à entendre les désespérés, les insensés. A partir de quand cette profession s’est-elle gentrifiée ? Depuis quand a-t-elle abandonné l’enquête, la filature, le reportage, cette sainte triade de ses aînés ?
Voyage dans un monde de conflits d’intérêts au cœur de l’Europe et contre la démocratie. Après des semaines de recherche et un passage à Bruxelles pour rencontrer les chercheurs lanceurs d’alerte de CEO, ONG spécialisée dans l’influence des lobbies en Europe, nous vous livrons 10 faits.
10 faits qui montrent comment les multinationales utilisent leurs moyens financiers pour influencer le processus de décision politique européen à chaque étape, en profitant des très faibles régulations, pour que les lois aillent dans leur sens, au mépris de la démocratie et de l’intérêt général.
Députés, commissaires, fonctionnaires européens, tous peuvent être achetés.
Le pantouflage est la règle, pas l’exception, les carrières se font du public aux lobbies, au public, etc.
Même la recherche et les experts « indépendants » sont souvent sous influence quand ils ne sont pas carrément des lobbies déguisés.
En parcourant avec nous ces 10 faits, vous ferez un voyage dans le monde de l’influence de l’argent sur la politique européenne qui vous donnera du recul sur le caractère démocratique de nos institutions communautaires.
Le sort du traité de libre-échange UE/Canada est suspendu suite à son rejet par le gouvernement de Wallonie. Pour Gaël Brustier, Paul Magnette, chef socialiste de la région francophone, dit beaucoup de l'avancée de la crise en Europe.
Les critiques sur la ministre de l’Energie n’émanent plus seulement de l’opposition. Sa position est-elle encore tenable?
Les entreprises s'activant dans l'ombre avec les législateurs européens - c'est ainsi que le TAFTA est écrit. VOTEZ MAINTENANT pour élire le gagnant des Awards et aidez-nous à mettre les pires candidats sous le feu des projecteurs !
Il y a bien longtemps, vous-savez-qui a proposé que ceux qui se chargent des propagandes appliquent la technique du "gros mensonge" : rendre leurs mensonges tellement énormes, tellement flagrants qu’ils seraient acceptés car personne ne croirait qu’ils...
Loi renseignement, loi numérique, loi relative à l’état d’urgence… La démocratie française a-t-elle basculé ces derniers mois du côté de la cyberdictature ? Usbek & Rica a posé la question à deux observateurs de la vie numérique dans notre pays : Adrienne Charmet, porte-voix de l’association La Quadrature du Net, préoccupée par la dimension sécuritaire des récents textes de loi, et le journaliste spécialisé Jean-Marc Manach, qui refuse de tomber dans la paranoïa généralisée sur les questions de surveillance.
Ah les idiots !
Ah les imbéciles qui sur une question aussi cruciale ont cru bon quémander l’avis d’un peuple trop ravi de l’aubaine pour ne point déverser dans les urnes leur mesquine frustration, leur petite haine ordinaire, leur racisme étriqué dissimulé derrière de prétendus enjeux économiques.
En comparaison avec leurs confrères français, les médias belges sont un modèle de réserve dans les enquêtes terroristes en cours. Cela n’empêche pas le Ministre de la Justice, Koen Geens, de vouloir doubler les peines en cas de fuite d’informations et de soumettre à des écoutes son propre personnel de sécurité, avertissant par ailleurs que le secret des sources journalistiques n’est pas sacré dans le cadre des affaires de terrorisme. En résumé, c’est une culture officielle de la défiance que décrète le gouvernement. Oubliées, toutes les annonces sur un manque de personnel de sécurité et de magistrats. Les agents ne vont plus placer des écoutes chez les terroristes mais chez d’autres agents, après quoi les magistrats poursuivront également les agents et les journalistes. Dans quel but ? Nous empêcher de savoir que la police sait que les bars gays constituent des cibles potentielles.