Marc Melki est un photographe français qui, fatigué de témoigner de la misère qui frappe son pays, a décidé de mettre des personnalités à la place des personnes vivant dans la rue.
Dans le trimestriel d’été du FBLP, les sociologues Jean- Louis Siroux et Daniel Zamora analysent les discours qui légitiment les nouvelles politiques de lutte contre la pauvreté.
The Correlation Network works and contributes to an increased quality of life for vulnerable and marginalized groups in Europe. We are committed to marginalised groups, such as drug users, sex workers, migrants, MSM and young people in risk situations as well as people living with HIV and AIDS and other communicable deseases.
La crise, puis les politiques de baisse des dépenses publiques décidées par les gouvernements pour tenter d’y répondre frappent dur, mais pas également. À plusieurs niveaux, leurs premières victimes demeurent les femmes.
Jean Blairon revient sur la question de la participation des personnes en situation de pauvreté dans la conception de lutte contre la précarité. Et pose la question : quelle influence peuvent avoir des personnes confrontées à des processus de désaffiliation pour enrayer la précarité ?
On n'en parle plus que lorsque des riverains s'opposent à l'ouverture d'une salle de shoot. Les ravages de la toxicomanie et de l'alcoolisme ont disparu de nos préoccupations sanitaires et sociales. D'où la nécessité de ces images qui rappellent les drames cachés en milieu rural.
Difficultés d’accès au logement et aux soins, contrats de travail précaires, les jeunes subissent de plein fouet les effets de la crise économique et sociale. Mais la génération des 18-25 ans regorge d’imagination pour surmonter les obstacles.
L’organisation de la journée d’étude « Qualité et quantité : unies pour le meilleur et pour le pire ! Quelles politiques pour la valorisation du travail social ? » résulte d’un travail, au sein de Flora et avec plusieurs organismes – fédérations et associations - actives dans l’insertion des personnes en Wallonie et à Bruxelles, sur les réalités vécues sur le terrain pour favoriser l’insertion sociale et/ou professionnelle des personnes éloignées de l’emploi, et sur l’écart entre ces réalités et les injonctions des politiques et des pouvoirs subsidiants. Cet écart est ce qu’on appelle le ‘vrai travail’ : si les objectifs des associations et des politiques sont les mêmes – favoriser l’insertion des personnes les plus marginalisées –, les réalités vécues sur le terrain sont de plus en plus difficiles et les organismes d’insertion sont amenées, pour atteindre les mêmes objectifs, à déployer davantage d’énergie sans avoir pour autant plus de moyens.
ReplierReplier toutDéplierDéplier toutÊtes-vous sûr de vouloir supprimer ce lien ?Êtes-vous sûr de vouloir supprimer ce tag ?
The personal, minimalist, super-fast, database free, bookmarking service par la communauté Shaarli