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Campagne de lutte contre l’homophobie lancée par le gouvernement du Québec sous la forme d’un court webdocumentaire.
« Nous avons réussi à créer de la misère et du mal-être dans des sociétés d’opulence matérielle », assène Vincent Liegey. L’ingénieur et porte-parole du Parti pour la décroissance ne se contente pas de pourfendre le mythe de la croissance infinie. Lui et les co-auteurs du livre « Un projet de décroissance » proposent d’accorder à chacun une « dotation inconditionnelle d’autonomie » : un revenu d’existence qui pourrait ouvrir bien des horizons. Et une invitation à nous questionner sur le sens de notre société.
Les créateurs du Debtocracy, le documentaire vu par plus de 2 millions de spectateurs, reviennent avec une nouvelle production.
CATASTROIKA cherche les conséquences de la liquidation totale de la Grèce.
Révisant des exemples de privatisations aux pays développées du Sud, CATASTROIKA essaie de prévoir ce qui va se passer si le même modèle s΄applique à un pays sous surveillance économique. Plus de détails…
Un documentaire avec permission de libre distribution et retransmission, auquel tu peux participer. Deviens co-producteur.
Jaime Serra, comment certains individus influencent la norme. Et combien ils sont nécessaires à toute société.
http://www.courrierinternational.com/article/2013/03/18/un-imperieux-besoin-d-excentricite
Stress, dépression, violence, harcèlement, suicide : le travail, qui occupe une place centrale dans nos vies, est de plus en plus associé à la souffrance, dans les enquêtes de l’Insee comme dans les conversations. Cet amer constat a poussé le virtuose du film documentaire Jean-Michel Carré à s’intéresser dans « J’ai (très) mal au travail » à la montée du « mal-être » au boulot.
http://www.lemonde.fr/cinema/article/2007/10/30/j-ai-tres-mal-au-travail-decadence-en-entreprise_972580_3476.html
http://www.youtube.com/watch?v=ZFmKOKt0xQY
L'Entonnoir naît de l'expérience rédactionnelle du magazine C4 – elle-même imaginée dans ce grand laboratoire que fût le Cirque Divers – et du désir d'approfondir le potentiel que les technologies de l'information et de la communication nous semblent receler. Nous faisons allusion, ici, à cette promesse d'une grande conversation de pair à pair qui se déploierait comme le support de toute les aventures menées n'importe où dans les replis de la société.
Résumé de l’intervention
Le fonctionnement communicationnel des communautés scientifiques présente un paradoxe intéressant : autant les scientifiques se révèlent excellents communicateurs entre eux à l’intérieur d’un même paradigme, autant leurs tentatives de communiquer leurs résultats à des non-spécialistes rencontrent des problèmes si difficiles à résoudre que, bien souvent, ils se découragent et montrent alors une tendance à se replier sur eux-mêmes, nourrissant par là le mythe de la tour d’ivoire.
On examinera tout d’abord ce qui fonde l’aisance communicationnelle dont les scientifiques témoignent entre eux. Ensuite, j’aborderai les difficultés qu’ils rencontrent dès qu’ils ont affaire à des non-spécialistes en prenant appui sur l’analyse de la vulgarisation scientifique. En troisième lieu, je tenterai de soutenir l’idée que cette vulgarisation constitue depuis sa naissance historique au XVIIe siècle un dispositif propre à assurer au discours scientifique une certaine réflexivité. Je terminerai en montrant en quoi les changements qui ont affecté le statut socio-politique et culturel des sciences aujourd’hui nécessitent plus que jamais une circulation beaucoup plus ouverte et libre des savoirs scientifiques en suggérant quelques moyens pour l’assurer.
Baudouin Jurdant est spécialiste des questions de vulgarisation scientifique, professeur en Sciences de l’information et de la communication, à l’université Paris Diderot (en 2009).
Bien qu’ils puissent sembler étranges et déplaire à beaucoup, les catholiques sont des êtres normaux et doivent jouir des mêmes droits que la majorité, de la même façon, par exemple, que les informaticiens et les homosexuels. (...)
Certains pourraient arguer qu’un mariage entre catholiques n’est pas un vrai mariage, car il s’agit pour eux d’un rite et d’un précepte religieux engagé devant leur dieu, plutôt que d’un contrat entre deux personnes. (...)
Malgré l’opposition d’une partie, je crois qu’il faudrait permettre aux catholiques de se marier et d’adopter des enfants. Exactement comme les informaticiens et les homosexuels.