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Cette étude décrit certaines des stratégies mises en oeuvre par les militants climatosceptiques et dénialistes sur Twitter, quantifie leurs effets et met en avant de potentielles motivations géopolitiques.
"ces pratiques marketing qui ne devraient plus berner personne. Chaque fois que vous entendez les mots ‘vert’, ‘green’, ‘durable‘, ‘circulaire’, ‘entreprise à mission’, ‘transition numérique’, ‘transition écologique‘, la seule réaction à avoir c’est “”ALERTE GENERALE“”. Ce sont bien souvent des mots cache-misère que les entreprises (et Etats) utilisent pour masquer leur déficience sociétale. "
In a series of infographics, EPHA aims to debunk common misunderstandings about clean transport, using city examples to showcase how cities across Europe are benefiting from sustainable initiatives. These infographics highlight how reducing car use, expanding cycling lanes, and promoting public transport can lower emissions, improve public health, and create more liveable spaces.
Juillet 2024. Nouveau gouvernement, nouvelle DPC. Le plan d’action de la FWB ne se prononce pas sur l’élargissement du CPC vers les deux heures hebdomadaires. En revanche, la nouvelle feuille de route prévoit que le cours comprenne des «activités consacrées au dialogue interconvictionnel et l’apprentissage de l’histoire des courants religieux». Bien que la religion figurait déjà au programme du CPC4 , le virage envisagé par le gouvernement Degryse s’inscrit dans la manière dont il la traite. L’appréhension du fait religieux y devient celle du dialogue interconvictionnel.
Professeur ordinaire à la Faculté de philosophie de l’UCLouvain, membre de l’Académie royale de Belgique et spécialiste des questions de sciences des religions, Jean Leclercq décode cette différence fondamentale: «L’approche de la religiosité par la notion technique et la méthode spécifique du ‘‘fait religieux’’ est très utile pour conforter les apprentissages et s’assurer de la neutralité du maître et du respect des convictions des élèves. Philosophie, psychologie, sociologie, anthropologie, etc. deviennent alors des voies d’approche rigoureuses, accessibles à tous. À l’inverse, le dialogue interconvictionnel ne reposera que sur la conviction individuelle, avec tout ce que cela implique; et notamment des débats infinis en matière de jugements normatifs sur ce qu’est une vie bonne, via des critères d’orthopraxie et donc d’hétéropraxie. Toute religion crée du nous et du eux. Or le rôle de l’école n’est pas d’organiser le débat des convictions intérieures, au risque d’ailleurs d’y voir apparaître le prosélytisme. Mais surtout au risque de ne pas permettre à celui qui n’a aucune conviction de vivre et d’exister dans ce projet scolaire.»
Est-il mal (environnementalement parlant) d'artificialiser des sols pour réaliser des voies cyclables ?
(TLR : Non, il vaut mieux choisir un revêtement qui tiendra dans le temps, si on veut quelque chose de qualitatif qui permette un report modal et l'usage du vélo au quotidien toute l'année, même si c'est un béton bitumineux).
CCL de l'article : Si le choix du revêtement a pu se poser à mesure que le réseau de voies vertes se développait sur les territoires, tout montre aujourd’hui que cette question ne doit plus en être une. Outre sa longévité et sa résistance aux températures extrêmes et à l’intensité des événements climatiques, la famille des bétons bitumineux et dérivés dits «enrobés» présente un meilleur ratio coût/bénéfice sur de nombreux aspects : pollution de l’eau, bilan carbone, durabilité, caractère non pulvérulent, report modal... Dès lors que l’on prend quelques précautions supplémentaires, par exemple la teinte du liant, d’autres impacts positifs sont induits : meilleure intégration paysagère et élévation de l’albédo. Au moment où les mobilités sont un véritable enjeu de transition écologique, où les collectivités disent vouloir agir en faveur des mobilités actives, il est primordial de faire aujourd’hui les bons choix d’aménagement, les bons investissements pour le futur. À l’instar du réseau routier et la circulation automobile, les collectivités ont un rôle majeur à jouer pour un réseau de voies vertes continu, confortable et sécurisé et cela passe par le choix du revêtement.
En 1920, une mesure drastique est imposée aux citoyens américains : la consommation d'alcool est interdite sur l’ensemble du territoire. Loin de régler les problèmes sociaux, la mesure aura finalement pour effet de généraliser la corruption et de favoriser la criminalité organisée aux Etats-Unis.
Ce sont ces conséquences, reconnues par les Nations unies en 2008 comme conséquences « inattendues » du régime du contrôle des drogues, qui semblent montrer que le régime de contrôle (somme toute construit sur de bonnes intentions mais mis en place par la répression) met à mal la réalisation des objectifs du développement durable et l’Agenda de 2030.
Elles incluent les dommages causés par la prohibition : déplacement budgétaire et politique dans les priorités nationales (du secteur de la santé vers celui de la justice, par exemple) ; déplacement géographique de la production et de la violence sans qu’elles soient réduites pour autant (effet ballon gonflable) ; et un marché illégal de plus de 500 milliards de dollars dans les mains d’intérêts illégaux.
Autres conséquences dont la source est corrélée au contrôle répressif des drogues : l’augmentation de la violence et de l’insécurité du fait de l’affrontement entre forces de l’ordre et trafiquants dans des quartiers souvent défavorisés ; la surincarcération et la surpopulation carcérale pour des délits mineurs ; l’enrichissement de groupes criminels ; ou encore la transmission de maladies infectieuses. (...)
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En Belgique, il y a aussi nubo.coop et Domaine public, notamment
"Sans avoir l’air d’y toucher, cette décision est en réalité une révolution dans le domaine de la liberté d’expression. Jusqu’à présent, une décision de la Cour européenne des droits de l’homme empêchait toute censure préalable d’une émission de télé. On ne pouvait pas en empêcher la diffusion. Elle avait été obtenue par la RTBF en 2011, à la suite d’un long processus judiciaire.
En résumé, on pouvait dire que les articles de la Constitution belge qui garantissaient la liberté d’expression (article 19) et interdisaient toute censure préalable (article 25) étaient appliqués à la lettre.
Mais ce nouveau jugement du tribunal de l’entreprise de Bruxelles, écarte cette façon de régler le conflit. Il affirme que la liberté d’expression n’est pas absolue, mais peut-être limitée par ces règles sur les pratiques commerciales déloyales."
Les conclusions sont fermes : il n’y a aucune différence entre les femmes qui vapotent pendant leur grossesse, qui utilisent des substituts nicotiniques ou qui s’arrêtent de fumer sans rien. Les chercheurs insistent sur l’effet indésirable le plus fréquent : le poids du bébé à la naissance. Aucune différence entre celles qui ont arrêté de fumer quelle que soit la méthode (y compris « sans rien »), seuls les bébés des femmes encore fumeuses naissent plus petits. Pour le reste, c’est pareil, extrait des conclusions de l’étude : « Les utilisateurs de CE (vape) et les utilisateurs de TNS (substituts nicotiniques) ne différaient en termes de résultats de sécurité, et l’utilisation de ces produits n’était associée à aucun des événements indésirables que nous avons surveillés. »
Alors qu’on voit ressurgir des pathogènes anciens (malaria, dengue), et que des nouveaux vont inévitablement apparaître, l’OMS nous annonce vouloir améliorer la résilience des pays face aux futures pandémies. Pourtant celle de SARS-CoV-2 est toujours en cours (selon les termes mêmes d’une responsable de l’OMS fin 2023) et les mesures visant à protéger des réinfections la population générale mais aussi les personnes à plus haut risque ou celles vivant avec un COVID Long, ont toutes été levées (fin du port du masque obligatoire, campagnes de vaccination anecdotiques) ou n’ont jamais été mises en place (amélioration de la qualité de l’air intérieur). L’histoire de l’épidémie de VIH-SIDA aurait pourtant dû nous préparer et nous permettre d’éviter de perdre un temps précieux pour la pandémie de SARS-CoV-2 : cela n’a pas été le cas.
A moins d’avoir passé les dernières années à éplucher la littérature scientifique sur le sujet, il est difficile de saisir à quel point notre perception et notre évaluation des risques face au COVID est en décalage total avec l’état des connaissances scientifiques à date. Des modes de transmission du virus aux moyens de prévention disponibles, en passant par le fonctionnement du virus et ses effets à long terme sur notre organisme ou son niveau de circulation au sein de la population générale, tout est tragiquement mal compris. Il y a comme une sensation désagréable de déjà vu et il est plus que temps d’éclaircir tout cela.
"Mettre en scène des enfants qui ont réussi leur CEB comme on ritualise les proclamations universitaires en les affublant d'une toge et en les coiffant d'une toque académique, c'est un peu comme une façon de déplacer le carnaval en plein mois de juin.
Cela peut être amusant mais c'est incontestablement absurde et cela contribue encore à ajouter de la confusion au sens que l'on donne à cette évaluation quand on en fait un instrument de filtrage anticipé ou de distinction précoce."
Alors que la méfiance à l'égard des médias et des journalistes s'accroît, que le contenu journalistique est en concurrence directe avec tout autre type de contenu sur les plateformes, il était urgent de trouver des solutions structurelles pour restaurer la confiance et créer des conditions favorables à son rétablissement.
C'est ce que propose la Journalism Trust Initiative (JTI) avec la mise en place d'un mécanisme international récompensant les pratiques journalistiques éthiques.
Conçue comme une norme ISO, la Journalism Trust Initiative initiée par Reporters sans frontières (RSF), a été développée par un panel de 130 experts internationaux sous l'égide du Comité Européen de Normalisation (CEN) et publiée en tant que Workshop Agreement CWA 17493 pour récompenser le journalisme de confiance et le respect des normes professionnelles.
Positionnement d'Amnesty International pour un changement de paradigme en matière de politiques drogues.
La prévention, l'accès à la santé, au soin, la déstigmatisation, la fin des poursuites pour détention et usage de drogues, la régulation des drogues.
Florilège de mesures anti-sociales prises par les municipalités dirigées par le Rassemblement / Front national et des exemples de décisions prises dans des pays où l’extrême droite est arrivée au pouvoir en France, Hongrie, Pologne, Argentine, Italie, Autriche, Slovaquie.
Exemple de texte de motivation :
Cette utilisation me parait non conforme aux informations communiquées par l'Autorité de protection des données de Belgique, notamment, relativement au GDPR.
Dans tous les cas, je souhaite faire valoir mes droits en m'opposant à un telle exploitation de mes données personnelles.
Edouard Louis est persuadé que la violence est une responsabilité sociétale, et qu’il est nécessaire d’analyser son fonctionnement pour l’éradiquer à la source : "Le fait de mettre des gens en prison n’a jamais arrêté la violence. Au contraire, les personnes qui appliquent ça sont complices de la violence qui se reproduit. Et il faut aller la chercher de manière plus profonde, car si on n’essaye pas de comprendre cette violence, alors on la laissera se reproduire. Je crois que la violence elle est produite par des structures de masculinité, de classe sociale, de famille, de vie conjugale, d’expériences personnelles. Je ne crois pas en la responsabilité individuelle. Une fois qu’on arrête un individu qui a commis une violence, qui est grave, qui est insupportable, on n’a pas arrêté les causes qui la produisent. On nous fait croire que quand on essaie de comprendre la violence on l’amenuise. C’est le contraire : la plus grande agression qu’on puisse commettre à l’égard de la violence, c’est de la comprendre".
11,2 % des déplacements intramuros se font à vélo.
4,3 % des déplacements intramuros se font en voiture.
Les citoyens du monde sont outrés - et le font de plus en plus savoir - devant le spectacle atroce d’une planète déchirée par des guerres cruelles, sanglantes, absurdes, que les mécanismes de négociations prévus par les instances internationales auraient pu empêcher. Mais le jeu des grandes puissances alliées aux intérêts des marchands d’armes, des vendeurs d’énergie fossile, des entreprises de construction et autres, empêche les options de paix et de développement harmonieux.