2691 liens privés
"La manière dont est rendue visible l’identité des personnes sur les sites du web 2.0 constitue l’une des variables les plus pertinentes pour apprécier la diversité des plateformes et des activités relationnelles qui y ont cours. Que montre-t-on de soi aux autres ? Comment sont rendus visibles les liens que l’on a tissés sur les plateformes d’interaction ? Comment ces sites permettent-ils aux visiteurs de retrouver les personnes qu’ils connaissent et d’en découvrir d’autres ?"
Dans un récent article pour le magazine Discover, Jaron Lanier se livre à une critique virulente du concept de “logiciel libre” ou open source. (...)
“Avant que vous ne m’inondiez d’e-mails rageurs, précise-t-il, je tiens à préciser que je ne suis pas anti open source. C’est une approche que je conseille fréquemment dans des projets spécifiques. Mais il existe une vision politiquement correcte qui affirme que l’open source est la meilleure voie vers la créativité et l’innovation, et cette idée ne tient pas face à l’épreuve des faits”.
Ce qu’il critique, c’est la philosophie selon lui au coeur du logiciel libre, celle du “bazar” revendiquée par Eric Raymond (site), bref l’idée que la création collective suffirait à élaborer des programmes innovants.
FaberNovel a publié une très intéressante synthèse sur les réseaux sociaux. Après une étude sur Facebook et une étude sur les business d’affaires de l’open source et des logiciels libres, cette troisième étude essaye de dégager les spécifi
“Nous avons certainement besoin d’en débattre et d’établir un nouveau pacte pour la vie privée – pour qu’on puisse utiliser ces données sans en abuser”, clame le professeur Pentland. Adam Greenfield ne dit pas autre chose en proposant ses 5 principes éthiques (http://rsta.royalsocietypublishing.org/content/366/1881/3823) sur lesquels devraient se bâtir les systèmes pervasifs.
La participation des internautes selon l’usage et l’âge