2782 liens privés
Share websites on any diaspora* pod.
Intégré à AlbinoMouse pour Shaarli !
https://github.com/alexisju/Shaarli-AlbinoMouse
Framasphère est un nœud (appelé pod) du réseau social libre Diaspora*.
Ello Inc. USA'
Un nouveau réseau social respectueux de la vie privée? Avec un beau manifeste.
Mais ils auraient tout de même pu éviter d'être hébergés au Etats-Unis sur des serveur GoDaddy.com (https://en.wikipedia.org/wiki/Go_Daddy#Controversies)
Dommage également ce soit bien copyrighté plutôt que d'être dans un esprit open source. Les conditions d'utilisations sont claires (et un peu décevantes) : https://ello.co/wtf/post/terms-of-use
Sceptique...
Voir aussi :
https://aralbalkan.com/notes/ello-goodbye/
http://www.zdnet.fr/actualites/elloco-est-il-reellement-un-reseau-social-philanthrope-pas-si-sur-39806973.htm
Des services web libres et alternatifs
Les journalistes devront-ils bientôt se passer des réseaux sociaux pour enquêter? Ne pourront-ils plus bientôt mener de l’investigation "undercover"? C’est la menace juridique qui plane actuellement en Belgique, suite à l’arrêt rendu en mars dernier par la chambre des mises en accusation de Bruxelles, renvoyant deux journalistes de RésistanceS.be, l’observatoire belge de l’extrême droite, devant le tribunal correctionnel pour "faux informatique", "port public de faux nom" et "violation de la vie privée".
Il est désormais possible de se passer de la suite bureautique Microsoft Office et du système d’exploitation Windows en utilisant de fiables alternatives libres (GNU/Linux et Libreoffice pour ne pas les nommer).
Mais quid du réseau social Facebook et des services Google par exemple ? Est-il possible de proposer des alternatives libres à ces applications dans les nuages du web qui demandent une énorme bande passante et nécessitent des batteries de serveurs, avec tous les coûts faramineux qui vont avec (et que ne pourra jamais se permettre le moindre projet libre qui commence avec cinq gus dans un garage) ?
Avec le nombre encore plus important de liens que créent les réseaux sociaux, la rupture ne doit plus seulement être physique, mais également numérique.