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Immoral Code est un documentaire qui s’interroge sur l’impact des robots tueurs dans nos sociétés. Dans un monde où des décisions reposant sur l’intelligence artificielle sont progressivement introduites dans tous les secteurs de la société (soins de santé, justice pénale, économie, etc.), il importe de questionner cet enjeu. Qu’il s’agisse de préjugés préprogrammés, de protection des données ou de problèmes de confidentialité, ces algorithmes présentent de réelles limites, surtout lorsqu’ils sont appliqués à des systèmes d’armes.
"Peu importe le sujet : ma plume était devenue aussi prolifique que tout terrain. En six années de collaboration avec « l’Agence », je leur ai pondu 595 articles. Cinq cent quatre vingt quinze. Près de deux par semaine, vacances comprises. Sur toutes les thématiques, certaines parfois dont je ne savais rien : énergie, politique internationale, nouvelles technologies, santé, économie – et j’en passe. Ce n’était pas du journalisme, évidemment. Mais hormis un court syndrome de l’imposteur, pas de problème de conscience : tant qu’on ne me demandait pas de nuire directement à quelqu’un, ou de faire l’apologie d’un criminel notoire... Il fallait bien gagner ma croûte. Et puis, si ce n’était pas moi, quelqu’un d’autre le ferait."
The Swedish response to this pandemic was unique and characterised by a morally, ethically, and scientifically questionable laissez-faire approach, a consequence of structural problems in the society. There was more emphasis on the protection of the “Swedish image” than on saving and protecting lives or on an evidence-based approach. A strategy was never discussed among all relevant parties, and never implemented nor communicated to the public. In addition, there was an unwillingness and incapacity to admit any failures at all governmental levels; or to take any responsibility for the clearly detrimental outcomes for Swedish society. There were even attempts to revise history by changing, or deleting official documents, communication, and websites, and gaslighting the public. The Swedish authorities involved were not self-critical and did not engage in any official and open dialogue and misled the public by withholding correct information and even spreading misleading information. A small group of so-called experts with a narrow disciplinary focus received a disproportionate and unquestioned amount of power in the discussion, nationally and internationally. There was no intellectual/scientific discussion between stakeholders (including independent experts from different disciplines), and the international advice of WHO, ECDC and the scientific community was ignored and/or discredited.
On parle beaucoup de droits du patient. Quels sont ses devoirs ?
Michel Dupuis: Effectivement, notre loi ne dit rien d’explicite sur les obligations du patient et, par exemple, les questions de solidarité. Elle s’arrête à la notion de « meilleurs soins possibles » pour un patient, elle n’aborde pas la « concurrence » entre patients. Je suis pour une politique la plus transparente possible, y compris en termes de devoirs. À ce propos, un concept intéressant a été dégagé il y a une vingtaine d’années en Afrique subsaharienne : le paradigme du « patient victime-vecteur ». Dans une situation à haute contagiosité, où les ressources sont rares, le patient est d’abord victime, donc il a le droit d’être pris en charge. Mais il n’est pas que victime, il est aussi vecteur. Autrement dit, il transmet, il contamine… Or, la loi sur les droits du patient pose seulement qu’il a le droit de refuser des soins. Ce qui lui donne l’occasion de décliner la vaccination, la mise en quarantaine, etc. S’ouvre alors un dossier bien moins politiquement correct autour de la responsabilité citoyenne. Pour moi, c’est l’une des grandes leçons de cette pandémie : à côté du devoir de compassion envers les personnes victimes, il y a aussi la responsabilité individuelle, citoyenne, qui implique une forme d’obligation à respecter les mesures sanitaires. C’est compliqué, cela rappelle des émotions archi-conservatrices autour des questions de « discipline ». Ce mot est extrêmement dangereux, et pourtant… Quand on a pensé la démocratie sanitaire, on a mis en scène la liberté des citoyens, la déclaration quasi universelle des citoyens-patients qui ont un certain nombre de droits, mais on a oublié qu’une démocratie comprend également l’obligation de respecter des normes, certains comportements.
Des dilemmes moraux qui se logent dans les lignes de code. Les développeurs sont devenus “la dernière défense contre des pratiques dangereuses et n’obéissant à aucune éthique”...
The very real problems with artificial intelligence today, may already be exacerbating inequality in the workplace, at home and in our legal and judicial systems. Sexism, racism and other forms of discrimination are being built into the machine-learning algorithms that underlie the technology behind many “intelligent” systems that shape how we are categorized and advertised to.
Au sein de la hiérarchie hospitalière, le métier d'aide-soignant(e) a vu le jour dans le processus de relégation des tâches les plus pénibles. Dans les services gériatriques, la gestion des excréments humains gouverne les relations de travail. L'Observatoire belge des inégalités vous propose une enquête réalisée in situ par une aide-soignante en activité.
Paradoxalement, lorsque la hiérarchie et les dispositifs censés construire de la « bientraitance » ne sont plus présents comme les dimanches, le soir ou la nuit, la créativité des aides-soignantes se déploie. Des complicités avec des patients s’observent pendant ces moments « désinstitutionalisés ». Les aides-soignantes s’accordent alors le droit d’écouter un air de musique tout en dansant au beau milieu du couloir, elles invitent le patient dément pris de chagrin à venir s’installer près d’elles ou encore ne s’affolent pas face à un vieillard désorienté qui a oublié de s’habiller. Ces histoires ne se retrouvent pas dans les manuels de la profession. Elles auront plutôt tendance à choquer ceux qui n’ont pas confiance dans la « capacité de penser » des aides-soignantes. Or ce dont elles témoignent en ces moments, c’est de leur capacité à préserver des rapports remplis de dignité.
Lorsque les aides-soignantes sont en corps à corps avec les patients souffrants, elles développent des savoirs qui leur sont propres : une ’éthique en acte’ que les médecins ne peuvent développer derrière leurs bureaux, analyses biologiques et autres chiffres rationnels. Ces travailleuses pourraient alimenter les réflexions éthiques faites autour des patients (notamment celles qui concernent la mort et la vie) mais par le mécanisme de relégation sociale, l’institution les pousse à rester muettes (elles ne sont par exemple jamais conviées aux réunions multidisciplinaires). Une meilleure reconnaissance de ces savoirs ’d’expérience’ construits dans le terrain de travail permettrait alors la construction d’autres mondes...
«Comment la voiture devra-t-elle être programmée pour agir en cas d’accident inévitable? Devra-t-elle minimiser la perte de vie, même si cela signifie sacrifier les occupants, ou devra-t-elle protéger les occupants à tout prix? Devra-t-elle choisir entre de telles extrémités?»
"Intelexit is an initiative that helps people leave the secret service and build a new life. It is civil society's response to the lack of oversight and undemocratic practices of intelligence agencies."
Article sur le sujet (Libération) : http://www.liberation.fr/economie/2015/09/29/contre-la-surveillance-espions-demissionnez_1393097
« From the Pentagon Papers to Hollywood e-mails, reporters and editors face complex decisions when it comes to reporting on information from hackers and leakers»
Le rêve d’une « coopérative mondiale », qui hante les militants libertaires depuis des décennies, a refait surface début 2014 en Catalogne, au sein de la Cooperativa catalana integral (CCI), un réseau regroupant des coopératives de production, des squats et des associations écologistes et altermondialistes. L’objectif, ambitieux, est de « créer un outil révolutionnaire pour construire une autre économie mondiale »
Site web de Fair-coin : https://fair-coin.org/
via sam7
Quand Apple ou Nokia ne savent pas d’où provient leur étain, indispensable aux smartphones - Basta !
Apple, Blackberry, Nokia, Samsung : des géants de l’électronique… qui ne savent pas vraiment d’où proviennent certaines de leurs matières premières. L’étain en l’occurrence indispensable à la réalisation des soudures des plaques électroniques des smartphones ou tablettes. A l’autre bout de la chaîne de fabrication, dans les mines indonésiennes de Bangka qui fournissent 30% de l’étain mondial, au moins une personne meurt chaque semaine. Vous avez dit responsabilité sociale ?
NGO FairFin promotes an environmentally and socially responsible approach to money and banking.
Découvrez ce que cache votre banque