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Immersion à Pontevedra, une ville pionnière qui a réussi à dire non aux voitures. La ville espagnole est une ville sans trottoir, sans feux rouges où les piétons sont rois. Moins de bouchons, moins de pollution et moins de bruit.
"Une nouvelle loi sécuritaire, qui encadre le droit de manifester, est entrée en vigueur hier en Espagne hier. Elle prévoit notamment des amendes allant jusqu'à 600.000 euros pour certaines manifestations non autorisées. Ses détracteurs y voient une atteinte aux libertés les plus fondamentales."
« « La Crise espagnole » est un résumé en images des cinq dernières années en Espagne : chômage, manifestations, répression policière, expulsions de familles endettées, coupes dans les aides sociales... Les photographies d’Olmo Calvo (1) sont une somme sur les conséquences de la crise, un échantillon des souffrances et des luttes d’une grande partie de la population espagnole. »
"Malgré les nombreuses oppositions, le gouvernement conservateur espagnol a finalement adopté son projet de loi sur la "sécurité citoyenne", en suspens depuis l'automne dernier. Celui-ci prévoit pour des fait de manifestations des amendes sans jugement pouvant atteindre une soixantaine d'années du salaire minimum."
300 clubs, des millions d’euros, des investisseurs étrangers : A Barcelone, c’est la ruée vers l’or (vert) grâce au modèle des Cannabis Social Club. Les appétits s'aiguisent dans la ville que certains surnomment déjà la nouvelle Amsterdam.
Entarter est désormais assimilé à un attentat en Espagne. Tel est le sort réservé à quatre militants de Mugitu !, un mouvement de désobéissance civique opposé à la traversée du Pays basque par une ligne à grande vitesse devant relier la France à l’Espagne. Traduits devant une juridiction d’exception, ils encourent des peines pouvant aller de 4 à 9 ans de prison.
Dans le sud de la péninsule, Barbate, plaque tournante du trafic, se bat contre un fléau dont la police ne vient pas à bout. Surtout que c’est l’un des rares débouchés pour les jeunes de la région, explique The New York Times.
Impelled by a spirit which still preserves a patina of idealism, Alfredo arrives in Madrid intent on creating "a performance which is freer, straight from the heart, capable of making people feel alive". His concept of what theater should be begins beyond the stage, out in the streets face to face with the public. Outdoors, in any town square, in a park or in the city's most commercial street, Alfredo and his troupe NOVEMBER start the show: demons to provoke passers-by, displays of social conscience, actions taken to the extreme to put the forces of law and order on full alert. There are no limits, no censorship; only ideas which are always valid so long as the public ceases to be the public and becomes part of the show swept by surprise, fear, tears or laughter.