2782 liens privés
Les scientifiques qui étudient les méfaits du tabac, de l’alcool et des aliments transformés peuvent faire l’objet de cyberattaques, de poursuites judiciaires, de surveillance et de violences physiques, selon une étude. Nombre d’entre eux sont qualifiés d’extrémistes, de fascistes, de fanatiques et de prohibitionnistes. Une étude parue dans le revue "Health Promotion International".
Il y a quatre ans, au début de l'épidémie de Covid-19, l'hydroxychloroquine avait été prônée et administrée par l'ancien directeur de l'Institut hospitalo-universitaire (IHU) en maladies infectieuses de Marseille Didier Raoult. Plusieurs études ont ensuite prouvé l'inefficacité, voire la potentielle dangerosité de cette molécule.
On revient sur cette étude ce matin avec un chercheur montpelliérain, Hervé Seitz, biologiste moléculaire et chercheur au CNRS.
Il est l'un des permiers chercheurs en France à avoir dénoncé les travaux du Pr Raoult et l'utilisation massive de l'hydroxychloroquine.
"Le vapotage n'est pas sans risque : il vous fait inhaler toutes sortes de produits chimiques dont nous ne connaissons pas (bien) les effets sur la santé. Si vous ne fumez pas, il est donc préférable de ne pas commencer. Mais si vous êtes fumeur, sachez que le vapotage constitue une alternative moins nocive au tabagisme et qu'il peut vous aider à arrêter."
Cet Atlas est le fruit d’une coopération entre la Fondation Heinrich Böll, Friends of the Earth Europe, BUND et le Pesticide Action Network Europe, et sa version française, enrichie de plusieurs chapitres, est publiée par le bureau de Paris de la Fondation Heinrich Böll et La Fabrique Écologique. Pourquoi utilisons-nous tant de pesticides et depuis quand ? Quels sont les impacts sur la santé et sont-ils différenciés selon le genre, quels impacts sur la biodiversité et notamment sur les insectes ? Qui détient les clés du marché mondial ? Que fait l'Europe, et que fait la France pour réduire leur utilisation de pesticides ? Quelles sont les alternatives aux pesticides qui existent et qui se développent dans le monde et à travers les territoires, en France hexagonale et dans les Outre-mer, particulièrement touchés par leur usage ? Vous trouverez dans cet Atlas des réponses à ces questions et de nombreux faits et chiffres au travers plus d'une vingtaine de chapitres, des graphiques et cartes qui visent à alimenter le débat et à contribuer au développement de solutions alternatives aux pesticides.
[Carte-blanche intégrale] BELGIQUE • BRAINE-L'ALLEUD 03/11/2022 Un médecin poursuivi en justice par un patient, ce n'est pas si rare. Mais pour l'avoir vacciné contre le Covid-19, c'est plus étonnant...
A l'heure où pas un jour ne passe sans lire dans la presse médicale la grogne des prestataires de soins, j'ai l'envie - et le besoin – de partager un épisode inédit de ma vie de médecin de famille.
Fin septembre, un huissier de justice est venu me déposer en mains propres une citation à comparaître au Tribunal Civil. Après trente ans de carrière, me voilà pour la première fois confrontée au monde judiciaire. Je suis accusée par une ancienne patiente d'« empoisonnement par un produit expérimental » . Traduisez : pour la protéger, je l'ai vaccinée avec le Comirnaty de Pfizer, appliquant ainsi scrupuleusement (et avec conviction) les recommandations scientifiques et gouvernementales.
Mon ahurissante mésaventure scandalise à plusieurs niveaux de lecture.
Personnellement : je ne suis qu'une simple exécutante de l'EBM, et me voilà devenue tirailleur sénégalais, en première ligne. L'Etat-Major étant bien à l'abri au sein des cabinets ministériels, des facultés, des task-forces et autres instances.
Collectivement : la Justice est lente (c'est un euphémisme) parce que les tribunaux sont encombrés par des élucubrations de ce genre, qui ralentissent le traitement des affaires sérieuses.
Déontologiquement : la plaignante est parvenue à trouver des pseudo-médecins ayant rédigé des pseudo-attestations affirmant des pseudo-liens entre son état et ma seringue du Big Pharma.
Il y aurait là quelques numéros INAMI à récupérer pour nos jeunes collègues en attente.
Le secret de l'instruction ne me permet pas de les citer, mais vous aurez deviné qu'on retrouve tous les druides des sphères antivax et complotistes de la Belgique francophone, certains virés de quelques hôpitaux pour les mêmes raisons.
Ce microcosme est bien actif sur les réseaux sociaux, terreau de choix pour distiller leurs théories fumeuses : médecine « intégrative », « naturelle », « anti-âge », « magnétisme », « de la personne », … Terminologie intéressante. Comme si la médecine allopathique était surnaturelle et pro-âge.
On y trouve même un anatomo-pathologiste à la retraite qui n'a plus besoin de son microscope pour diagnostiquer des « microlésions du système nerveux central et périphérique ». Formidable, la Belgique tient son cinquième prix Nobel de médecine.
Une petite musique insidieuse et dangereuse quand elle arrive dans des oreilles naïves et fragiles.
Ces personnages se regroupent dans des clusters aux noms évocateurs qui feraient sourire s'ils étaient moins toxiques.
Actuellement, ils ont pris pour cible les journalistes d'investigation les menaçant de poursuites judiciaires pour leur partialité pro-gouvernementale. Chacun son tour.
Quatrième scandale et non des moindres : des cabinets d'avocats se spécialisent dans les plaintes liées à la vaccination Covid. Je vois deux hypothèses : soit ils sont convaincus, soit leur motivation est purement lucrative faisant fi des réalités scientifiques et du pronostic de leur plaidoirie.
On ne peut s'empêcher de penser avec effroi à la dérive américaine où des hordes d'avocats font le pied de grue à la sortie des hôpitaux.
Heureusement en Belgique nous avons l'Ordre des Avocats, qui j'espère (naïvement) sera aussi inquisiteur que notre Ordre des Médecins. Affaire à suivre…
Lorsque cette tuile m'est tombée sur la tête, j'ai immédiatement partagé avec mes collègues du Cercle. Les messages de soutien furent nombreux et chaleureux, avec la sidération en dénominateur commun. De l'effroi pour les plus jeunes : « Si ça m'arrive, je ne le supporterais pas et je change de métier » ; du désabusement pour les plus âgés : « Vivement la retraite ». La présidente du Cercle a immédiatement et explicitement demandé un soutien écrit aux cabinets Vandenbroucke et Morreale, au Collège de Médecine Générale et à l'Ordre des Médecins. Seul ce dernier a pris la peine de répondre : me voilà munie des coordonnées de « Médecins en difficulté ». C'est déjà ça.
A l'heure où les instances poussent à la vaccination au cabinet du médecin généraliste, il faudrait veiller à soutenir ses troupes, sous peine de les voir fondre.
Mon syndicat n'est pas monté au créneau non plus. Ce n'est probablement pas la procédure, mais un message de soutien m'aurait réconfortée dans cette profonde solitude inhérente au métier de généraliste en solo.
Tout comme un petit mot de votre part si vous êtes comme moi injustement accusé pour avoir fait votre job. Ensemble on est moins seul.
Pour conclure sur un clin d'œil et garder son esprit critique vis-à-vis des tentaculesques réseaux sociaux, je vous partage un bon mot du regretté Umberto Eco :
« Les réseaux sociaux ont donné le droit de parole à des légions d'imbéciles qui, avant, ne parlaient qu'au bar, après un verre de vin et ne causaient aucun tort à la collectivité. On les faisait taire tout de suite alors qu'aujourd'hui ils ont le même droit de parole qu'un prix Nobel. C'est l'invasion des imbéciles »
Docteur Isabelle Schiepers sur MediQuality
« Malgré quelques centaines de revues systématiques et de méta-analyses, il n'existe aucune preuve suffisamment convaincante d'un rôle clair de la vitamine D pour aucun paramètre, mais des associations avec une sélection de paramètres sont probables. »
Dans cet article, nous allons déchiffrer caractère après caractère le code source du vaccin SARS-CoV-2 à ARN messager (ARNm) de BioNTech
Construit par les États-Unis dans les années 70 pour enfouir des déchets nucléaires, il menace aujourd'hui l'archipel. Et pas que.
Vaping and other smoke-free products have the potential to reduce the enormous harm of smoked tobacco products. The stakes of getting policy responses to smoke-free products wrong are high, especially if such restrictions stop millions of the world’s smokers accessing safer alternatives. It is disappointing that in its latest tobacco report,[3] WHO clings to outdated orthodoxy when it could embrace innovation. Equating smoke-free products with cigarettes only serves to protect the stranglehold of the cigarette trade on the world’s nicotine users and will nullify the potential of modern tobacco harm reduction strategies.
Tout comme les survivants des bombardements atomiques d’Hiroshima et Nagasaki, les oiseaux et les mammifères de la région souffrent de cataracte et présentent des cerveaux plus petits. Ce sont les conséquences directes de l’exposition aux substances radioactives présentes dans l’air, l’eau et la nourriture. Comme les personnes dont on traite un cancer par radiothérapie, la plupart des oiseaux ont des spermatozoïdes déformés. Dans les zones les plus touchées, près de 40 % des oiseaux mâles sont totalement stériles, ne possédant aucun sperme ou seulement des spermatozoïdes morts en période de reproduction.
Des tumeurs, vraisemblablement cancéreuses, s’observent sur les oiseaux présents dans les zones les plus irradiées. On constate de même des anomalies dans le développement de certaines plantes et insectes.
1,5 milliard d'euros dépensés par les labos au profit de professionnels de santé ; 100 millions de dépenses de lobbying en 2017 pour les dix plus gros laboratoires pharmaceutiques au monde… Les chiffres inédits révélés par ce premier volet des « Pharma Papers » donnent le vertige, mais ils sont à la mesure des profits mirobolants accumulés par ces firmes aux dépens des budgets publics et des systèmes de sécurité sociale.
Pas qu'une "mauvais habitude"...
Devinette du jour : qui sont les principaux détracteurs du cannabis à usage médical aux États-Unis ? Les laboratoires pharmaceutiques. Tiens donc...
Depuis des années, ils subventionnent des chercheurs et des études anti-cannabis et font du lobbying auprès des décideurs politiques.
Ces idées tenaces qui peuvent freiner les fumeurs récalcitrants...
...mais dans les pays occidentaux, certains remettent en question la vaccination, oubliant qu'aussi bien du point de vue des sciences que de la santé publique, la vaccination a fait ses preuves.
« Fumer n’a jamais été un acte naturel », rappelle le Pr Karine Gallopel-Morvan de l’Ecole des Hautes Etudes en Santé Publique (EHESP) et chercheur au sein de l’équipe d’Accueil Management des Organisations de Santé. « Derrière cette production se cache en effet d’énormes multinationales réfléchissant en termes de profit au détriment de la santé publique. Il faut savoir qu’un fumeur rapporte environ 10 000 dollars (9120 euros, ndlr) à l’industrie du tabac. »
La pollution de l’air est une tueuse silencieuse et invisible. Si nous voulons que nos enfants respirent un air pur, l’heure est au changement pour la mobilité bruxelloise. Nos dirigeants doivent agir.
Une étude publiée dans la revue Addiction par une équipe néo-zélandaise[1] confirme de manière incontestable, sur la base d'une méta-analyse de grande ampleur, le lien entre consommation d'alcool et survenue du cancer.
De plus en plus de voix s'élèvent pour dénoncer la généralisation d'une pratique symbolique d'un certain patriarcat du monde médical.