Reporter prolifique, Louis Theroux a réalisé des dizaines de documentaires sur des sujets chocs comme les suprémacistes blancs, les néo-nazis et l’univers carcéral aux États-Unis. Cette fois, plutôt que d’infiltrer les scientologues pour son nouveau film, il les a fait venir vers lui. My Scientology Movie, réalisé par John Dower, tente d’apporter un éclairage différent sur l’Église américaine de scientologie
Comment combattre les cartels qui font chaque année des milliers de victimes ? Après l'échec patent de la "guerre contre la drogue", de plus en plus d'États se tournent vers des solutions nouvelles, qui pourraient passer par la légalisation.
"La semaine passée, j’ai a visité l’île de Lesbos. Je crains queles Européens ne se rendent pas compte de l’ampleur de l’accordscandaleux que les Etats ont signé en leurs noms. S’ils devaienten être conscients, ils se sentiraient mal et en rage. Comme moi. Une opinion de Federica Zamatto, coordinatrice médicale auprès de Médecins sans Frontières."
Une étude de médecins de l’UCL démontre que le taux de cancer de la thyroïde a augmenté significativement chez les jeunes Belges.
1ère plateforme de covoiturage gratuite et collaborative. Aucune commission sur les trajets. Association à but non lucratif. Depuis 2011.
A l'heure ou Uber, AirBnB, Blablacar etc. transforment en capital privé les richesses communes créées au sein de communautés vivantes, humaines, généreuses, il faut dire, fermement, sans animosité mais avec l'assurance des causes justes : le covoiturage est un bien commun.
- la plateforme est un bien commun : nous ne serons jamais achetés ou côtés en bourse ;
- nous ne vivons que de dons : il n'y a pas de commission sur les trajets ;
- la gouvernance de la plateforme est fondée sur la communauté ;
- notre communauté contribue à la protection de l'environnement ;
- la plateforme contribue au lien social entre covoitureurs.
De graves atteintes sont portées au fonctionnement de la Justice belge, contrainte de fonctionner avec le budget le plus faible de toute l’Europe.
Les autorités sont passées à côté de milliards de bénéfices d'entreprises ces dernières années, du fait des innombrables déductions, estime Karel Anthonissen. "Ce qui rentre encore en impôts des sociétés provient des centaines de milliers de petites entreprises", explique-t-il.
"Y a-t-il dans ce cas encore quelqu'un qui paie l'impôt des sociétés ? En fait pas vraiment. Jusque dans les années 1990, la majorité de l'impôt des sociétés était payée par un petit nombre de grandes entreprises de capitaux, en premier lieu les grandes banques. Ce n'est plus le cas. Ce qui rentre encore en impôt des sociétés est apporté par des centaines de milliers de petites entreprises, soit quelque 3,7% du PIB. Cela ne mérite plus le nom d'impôt des sociétés, c'est de l'impôt des personnes physiques détourné. Un entrepreneur qui gagne bien ou une personne qui exerce une profession libérale avec succès préfère, pour des raisons fiscales, laisser une grande partie de ses gains dans la sprl. Il est à peine question de gain en capital. L'impôt des sociétés en tant qu'impôt des gains en capital a pratiquement disparu."
Le photographe Niels Ackermann raconte les rêves de la jeunesse ukrainienne
«Ici, plus de gens meurent à cause de la drogue et de l'alcool qu'à cause de la radioactivité», raconte Kiril devant la tombe d'un ami tombé d'un balcon un soir de fête.
Cela dit, je me demande par contre si le titre est vraiment bien choisi (cfr http://www.levif.be/actualite/sante/la-sante-des-jeunes-belges-de-1986-affectee-par-tchernobyl/article-normal-489029.html)
Plan adopted at special session focuses on reform and cooperation between nations but maintains policies that criminalise non-medical or scientific drug use
Michel Bauwens (@mbauwens), théoricien de l’économie collaborative et fondateur de la Peer-to-peer foundation, règle son compte à la Blockchain sur Le Monde.fr :
“La technologie n’est jamais neutre. C’est un terrain de conflit influencé par les imaginaires et les intérêts des personnes en charge de son design. La blockchain dérive ainsi d’une vision de l’homme très particulière : des individus autonomes passent des contrats entre eux. Ils n’ont pas besoin de collectif, de communauté. Et les contrats sont fondés sur une forme de propriété.
(…) La blockchain reste techniquement problématique, pour deux raisons. D’une part, pour créer de la confiance entre deux personnes, elle demande de vérifier l’intégralité du réseau. C’est loufoque ! A cause de l’énergie dépensée, mais aussi en termes de confiance humaine.
Le deuxième danger tient au fait que la blockchain est une organisation automatique. Prenons cette fois-ci l’exemple hypothétique d’un marché de l’assassinat. Avec les contrats intelligents de la blockchain, il fonctionnerait sans personne aux manettes. Si vous avez misé tant d’argent et que cette personne disparaît, la somme est versée sur votre compte. Il devient alors intéressant de financer des assassinats. Il serait difficile d’arrêter ce programme car il vivrait de façon autonome, hébergé sur plusieurs serveurs à la fois. La police ne pourrait pas dire : « Qui sont les responsables ? »
(…) “Nous sommes de plus en plus dirigés par des choix techniques qui n’ont été soumis à aucun débat démocratique. Les règles sont intégrées dans des plates-formes utilisées au quotidien, qui manipulent nos comportements.”
Selon l’ONU, il y aurait environ 300 millions consommateurs de drogues dans le monde. Dont 99 millions en Asie, 61 millions en Amérique du Nord et 37 millions en Europe.
La plus consommée est le cannabis, suivi des opiacés, de la cocaïne et des drogues de synthèses.
Bien que la consommation de certaines drogues, soit aujourd’hui dépénalisée dans plusieurs pays, la majorité continue d’interdire et de réprimer les consommateurs. Une stratégie jugée peu efficace. Même l’agence fédérale américaine de lutte contre le trafic de stupéfiants (DEA) admet que les drogues sont de plus en plus abordables et faciles à se procurer.
C’est pourquoi, à l’approche de la session extraordinaire des Nations unies sur le sujet (du 19 au 21 avril) une vingtaine de scientifiques et d’anciens chefs d’Etats ont lancé le même appel : et si la solution était de légaliser toutes les drogues ?
Les autorités israéliennes ont entrepris de démolir toutes les constructions palestiniennes en zone C de Cisjordanie, pourtant financées par les Européens. Rien que pour le premier trimestre de 2016, 104 structures financées par les Européens ont ainsi été démolies par Israël. Des installations agricoles, des panneaux solaires, des maisons préfabriquées...
Guillaume Meurice s'intéresse au conflit Israélo - Palestinien, et il s'est rendu à l'exposition "Open a door to Israël" organisé par le ministère des affaires étrangères d'Israël. Il y a rencontré des soutiens à Benjamin Netanyahu.
Un outil pour suivre en détail les votes des groupes politiques et MEP au sein des institutions européennes.
Pour Jean-Jacques Jespers, professeur de journalisme à l’ULB, médias et responsables politiques font régner l'émocratie, un néologisme pour signifier un système où les discours et les décisions sont dictés par l'émotion. Cette stratégie est exacerbée dans le contexte actuel de peur et de perte de repères.
Deep Web: The Untold Story of Bitcoin and The Silk Road will give a behind-the-scenes account of two of the most riveting and important untold stories of the last decade -- the rise of the digital currency Bitcoin and the arrest of Ross William Ulbricht, “Dread Pirate Roberts.”
As part of a series on the rising global phenomenon of online harassment, the Guardian commissioned research into the 70m comments left on its site since 2006 and discovered that of the 10 most abused writers eight are women, and the two men are black.
Des scientifiques, qui ont mené une étude novatrice et controversée, pensent avoir percé les secrets des drogues hallucinogènes.
Journaliste et auteur de l’ouvrage Allende, c’est une idée qu’on assassine, Thomas Huchon a passé plus de dix ans de sa vie à travailler sur un vrai complot : celui de la CIA contre le gouvernement chilien socialiste de Salvador Allende. Sur le terrain, il a recueilli des témoignages et s’est informé sans passer par la case de l’hypothèse, comme doit le faire tout journaliste d’investigation. Fort de son expérience sur ce sujet, Huchon chasse aujourd’hui les faux complots à travers le nouveau média Spicee, fondé par Antoine Robin et Jean-Bernard Schmidt en juin 2015. Le projet ConspiHunter (chasseur de théories conspirationnistes) n’est pas apparu en un claquement de doigts. Au fil de son parcours, un constat s’est imposé : la montée en puissance du conspirationnisme est tributaire de l’ascension de l’extrême droite en Europe depuis les années 2000. Le journaliste nous a confié les éléments qui l’ont mené, avec Spicee, à la production de ConspiHunter et de son premier documentaire Comment nous avons piégé les complotistes.
Trouverez-vous ce qui ne va pas dans ces vélos ? Velocipedia est un amusant projet du designer italien Gianluca Gimini, qui depuis trois ans demande à ses am