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Carte blanche de Philippe Van Parijs (UCLouvain/Oxford) en faveur d'une réappropriation de l'espace public par les citoyens.
A short documentary about bike messengers in Brussels, the most congested city in Europe with only 4% cycling traffic.
With : Karl-Heinz Pohl & Karel Rowies (PedalBxl), Klaus Bondam (Former Major of Kopenhagen), Danny Smagghe (Touring), Jonathan Borms (Fixerati Brussels), Roel De Cleen (Association of Cyclists), Jean-Philippe Gerkens (Bicycle Point - Central Station)
Prod. : Sander Vandenbroucke
This film was made without any political or financial support.
BRU+ met à l'honneur tout ce qui bouge dans les quartiers historiques du centre de la Région Bruxelloise.
Ces quartiers, composés d'une mosaïque d'habitants et de paysages, forment un ensemble riche et varié en permanent renouvellement.
L’organisation de la journée d’étude « Qualité et quantité : unies pour le meilleur et pour le pire ! Quelles politiques pour la valorisation du travail social ? » résulte d’un travail, au sein de Flora et avec plusieurs organismes – fédérations et associations - actives dans l’insertion des personnes en Wallonie et à Bruxelles, sur les réalités vécues sur le terrain pour favoriser l’insertion sociale et/ou professionnelle des personnes éloignées de l’emploi, et sur l’écart entre ces réalités et les injonctions des politiques et des pouvoirs subsidiants. Cet écart est ce qu’on appelle le ‘vrai travail’ : si les objectifs des associations et des politiques sont les mêmes – favoriser l’insertion des personnes les plus marginalisées –, les réalités vécues sur le terrain sont de plus en plus difficiles et les organismes d’insertion sont amenées, pour atteindre les mêmes objectifs, à déployer davantage d’énergie sans avoir pour autant plus de moyens.
Top 10 des langues les plus parlées en 2006 à Bruxelles
- Français 95,55%
- Anglais 35,40%
- Néerlandais 28,23%
- Espagnol 7,39%
- Arabe 6,36%
- Italien 5,72%
- Allemand 5,56%
- Turc 1,47%
- Portugais 1,67%
- Lingala 0,99%
Les pourcentages renvoient à la proportion de personnes interrogées qui estiment, par autoévaluation, qu’elles parlent la langue en question bien à parfaitement (Issus des résultat du Taalbarometer 2)
Les médias francophones, en couvrant l'actualité politique bruxelloise et à la faveur des (très médiatisés) «conflits» communautaires, évoquent régulièrement les volontés du pouvoir flamand de (re)conquérir Bruxelles, voire une véritable «flamandisation» de la ville. Cet article tente d'éclairer cette question de manière empirique à l'aide de diffé-
rents «indicateurs» de la présence flamande à Bruxelles. (...)
A défaut d'une véritable «flamandisation», une augmentation de la visibilité de la communauté flamande, à la fois en tant que groupe de population et en tant qu'institution politique. Le «mythe de la flamandisation» prend essence dans cette
visibilité accrue, mais aussi dans les réactions francophones à cette visibilité.
L'article analyse, au passage, les différentes formes que prend la présence institutionnelle flamande dans l'espace urbain, et en particulier dans le domaine culturel, lequel présente à Bruxelles des enjeux particuliers.
- Pour se rendre au travail, 190.000 voitures de navetteurs pénètrent à Bruxelles chaque jour. Il faut y ajouter 175 000 véhicules bruxellois. Autrement dit, en semaine, plus de 370.000 voitures circulent quotidiennement à Bruxelles, seulement pour les déplacements domicile – travail. La distance moyenne des déplacements des Bruxellois est de 6 kilomètres. Mais…
- 25% des déplacements sont inférieurs à 1 km
- 37% des déplacement sont d’une distance de 3 km à 5 km
- 20% sont supérieurs à 10 km.
- 70% de l’espace public est pour l’instant réservé à la voiture (circulation et parking)
- L’achat de carburants pour les transports a augmenté de 11% sur les dix dernières années, représentant ainsi près du quart de la consommation d’énergie des Bruxellois.
- 94% de la consommation d’énergie pour les transports est à imputer au trafic routier, contre 6% aux trains, trams et métros et 0.1% au trafic fluvial.
- Plus de 50 % des Bruxellois effectuent la majorité de leurs déplacements principalement en voiture, et près de 30% adoptent des modes de déplacement peu ou pas polluants (marche, vélo ou transport en commun).
- Les véhicules routiers s’alimentent à 64.51% avec du diesel, à 35.17% avec de l’essence… et seulement à 0.31% avec du LPG ou autres énergies.
Ces chiffres montrent qu’il existe un vrai potentiel de changement dans les habitudes de déplacement des Bruxellois puisque la plupart des déplacements sont courts et pourraient très bien être effectués en transports en commun, à vélo ou même à pied !
Date de mise à jour: 16/06/2015