Mensuel Shaarli
November, 2022
Germany’s tentative embrace of recreational cannabis legalization could trigger big changes across Europe.
L'idée selon laquelle le système immunitaire d'une personne peut être affaibli par un manque d'exposition à une maladie "témoigne d'une incompréhension fondamentale du fonctionnement du système immunitaire." En réalité, les enfants qui contractent des infections par le VRS à plusieurs reprises ou à un jeune âge sont plus exposé·es à des maladies comme l'asthme qui les suivront toute leur vie. Alors pourquoi tant d'enfants souffrent-ils de maladies graves causées par des virus saisonniers ? De nouvelles données suggèrent que le COVID-19 pourrait être en cause.
"Il faut soi-même éprouver physiquement le danger des routes wallonnes pour mesurer la gravité de la situation. C’est le quotidien des cyclistes de se dire en passant à tel ou tel endroit : les personnes qui ont conçu cette route, manifestement, n’y roulent jamais à vélo."
"Les dirigeants publics doivent revoir de fond en comble leurs conceptions. Cesser de considérer ces incidents, du plus banal en apparence (une voiture qui dépasse un peu trop vite, un peu trop près) jusqu’au plus tragique (l’accident mortel), comme une succession de faits-divers sans lien les uns aux autres. Il faut ouvrir les yeux : ces faits participent tous d’un système généralisé de mépris pour les cyclistes et de violence motorisée, souvent dans l’impunité. Un sursaut des pouvoirs publics est indispensable. La Wallonie est en retard, terriblement en retard, sur les pays et les régions qui l’entourent.
"Nous voulons pouvoir rouler sur de vraies routes en bon état, nous y sentir à notre place, en complète sécurité. Nous demandons que la distance minimale de 1,5 mètre, fixée dans le code de la route pour tout dépassement par une voiture, soit enfin respectée. Y a‑t-il déjà eu, en Wallonie, ne fût-ce qu’un seul procès-verbal donné pour cette infraction ? À quoi cela sert-il d’édicter une règle si elle n’est suivie d’aucun effet ? De la même manière, nous demandons que les zones 30, 50 et 70 soient concrètement appliquées, par des contrôles et radars plus fréquents au besoin."
Mais c'est tellement vrai ! Lors de nos sorties quotidiennes à vélo (trajet école gare boulot), c'est vraiment rare de faire un parcours sans se faire dépasser de trop près par les voitures, les bus TEC,... ou trop vite. Malgré notre écarteur, malgré le siège enfant à l'arrière. La galère pour se faufiler entre les files de voitures, aux feux rouges, l'absence de zones avancées, le manque de SUL qui obligent à faire des détours, l'absence de parkings adaptés dans une grande majorité de commerces. Et pour l'usage utilitaire, effectivement on trouve des RAVEL qui vont vers les campagnes, alors qu'on voudrait des vrais pistes cyclables sécurisées, autre chose que de la peinture au sol quand on se fait dépasser à 50 km/h ou 90 km/h....
Lisez l'article : https://www.wilfriedmag.be/planscieur/
et signez la pétition : https://www.change.org/p/un-planscieur-pour-la-wallonie
Plus de 200 cyclistes tués sur les routes l’an dernier, c'est le chiffre les plus haut depuis 20 ans. Qu’ils soient eux même auteurs d’infraction au code de la route, ou pas, ceux qui roulent à vélo sont les premières victimes.
Pour Kristiaan Borret, "bouwmeester" de Bruxelles, Good Move est "un bon plan".
"Il y a un manque de courage, on a capitulé, fait des concessions, trop vite. Les périodes de test servent à habituer les gens, à leur permettre de s’adapter, car après quelques mois, la pression sur les artères les plus importantes diminue.
"Après la période de résistance, les modes de vie s’adaptent et on est contents.
Quad9 est un service DNS récursif ouvert, gratuit et confidentiel. Il est exploité par la Fondation Quad9, basée en Suisse. Pourquoi et comment l'utiliser.
La configuration recommandée avec blocage des menaces de type malware et la validation DNSSEC est la suivante
- IPv4 : 9.9.9.9. et 149.112.112.112
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La configuration renforcée avec ECS est :
- IPv4 : 9.9.9.11 et 149.112.112.11
- IPv6 : 2620:fe::11
La configuration non sécurisée (pas d'ECS, pas de blocage de menaces et de validation DNSSEC), pour les experts, est :
- IPv4 : 9.9.9.10 et 149.112.112.10
- IPv6 : 2620:fe::10
[Carte-blanche intégrale] BELGIQUE • BRAINE-L'ALLEUD 03/11/2022 Un médecin poursuivi en justice par un patient, ce n'est pas si rare. Mais pour l'avoir vacciné contre le Covid-19, c'est plus étonnant...
A l'heure où pas un jour ne passe sans lire dans la presse médicale la grogne des prestataires de soins, j'ai l'envie - et le besoin – de partager un épisode inédit de ma vie de médecin de famille.
Fin septembre, un huissier de justice est venu me déposer en mains propres une citation à comparaître au Tribunal Civil. Après trente ans de carrière, me voilà pour la première fois confrontée au monde judiciaire. Je suis accusée par une ancienne patiente d'« empoisonnement par un produit expérimental » . Traduisez : pour la protéger, je l'ai vaccinée avec le Comirnaty de Pfizer, appliquant ainsi scrupuleusement (et avec conviction) les recommandations scientifiques et gouvernementales.
Mon ahurissante mésaventure scandalise à plusieurs niveaux de lecture.
Personnellement : je ne suis qu'une simple exécutante de l'EBM, et me voilà devenue tirailleur sénégalais, en première ligne. L'Etat-Major étant bien à l'abri au sein des cabinets ministériels, des facultés, des task-forces et autres instances.
Collectivement : la Justice est lente (c'est un euphémisme) parce que les tribunaux sont encombrés par des élucubrations de ce genre, qui ralentissent le traitement des affaires sérieuses.
Déontologiquement : la plaignante est parvenue à trouver des pseudo-médecins ayant rédigé des pseudo-attestations affirmant des pseudo-liens entre son état et ma seringue du Big Pharma.
Il y aurait là quelques numéros INAMI à récupérer pour nos jeunes collègues en attente.
Le secret de l'instruction ne me permet pas de les citer, mais vous aurez deviné qu'on retrouve tous les druides des sphères antivax et complotistes de la Belgique francophone, certains virés de quelques hôpitaux pour les mêmes raisons.
Ce microcosme est bien actif sur les réseaux sociaux, terreau de choix pour distiller leurs théories fumeuses : médecine « intégrative », « naturelle », « anti-âge », « magnétisme », « de la personne », … Terminologie intéressante. Comme si la médecine allopathique était surnaturelle et pro-âge.
On y trouve même un anatomo-pathologiste à la retraite qui n'a plus besoin de son microscope pour diagnostiquer des « microlésions du système nerveux central et périphérique ». Formidable, la Belgique tient son cinquième prix Nobel de médecine.
Une petite musique insidieuse et dangereuse quand elle arrive dans des oreilles naïves et fragiles.
Ces personnages se regroupent dans des clusters aux noms évocateurs qui feraient sourire s'ils étaient moins toxiques.
Actuellement, ils ont pris pour cible les journalistes d'investigation les menaçant de poursuites judiciaires pour leur partialité pro-gouvernementale. Chacun son tour.
Quatrième scandale et non des moindres : des cabinets d'avocats se spécialisent dans les plaintes liées à la vaccination Covid. Je vois deux hypothèses : soit ils sont convaincus, soit leur motivation est purement lucrative faisant fi des réalités scientifiques et du pronostic de leur plaidoirie.
On ne peut s'empêcher de penser avec effroi à la dérive américaine où des hordes d'avocats font le pied de grue à la sortie des hôpitaux.
Heureusement en Belgique nous avons l'Ordre des Avocats, qui j'espère (naïvement) sera aussi inquisiteur que notre Ordre des Médecins. Affaire à suivre…
Lorsque cette tuile m'est tombée sur la tête, j'ai immédiatement partagé avec mes collègues du Cercle. Les messages de soutien furent nombreux et chaleureux, avec la sidération en dénominateur commun. De l'effroi pour les plus jeunes : « Si ça m'arrive, je ne le supporterais pas et je change de métier » ; du désabusement pour les plus âgés : « Vivement la retraite ». La présidente du Cercle a immédiatement et explicitement demandé un soutien écrit aux cabinets Vandenbroucke et Morreale, au Collège de Médecine Générale et à l'Ordre des Médecins. Seul ce dernier a pris la peine de répondre : me voilà munie des coordonnées de « Médecins en difficulté ». C'est déjà ça.
A l'heure où les instances poussent à la vaccination au cabinet du médecin généraliste, il faudrait veiller à soutenir ses troupes, sous peine de les voir fondre.
Mon syndicat n'est pas monté au créneau non plus. Ce n'est probablement pas la procédure, mais un message de soutien m'aurait réconfortée dans cette profonde solitude inhérente au métier de généraliste en solo.
Tout comme un petit mot de votre part si vous êtes comme moi injustement accusé pour avoir fait votre job. Ensemble on est moins seul.
Pour conclure sur un clin d'œil et garder son esprit critique vis-à-vis des tentaculesques réseaux sociaux, je vous partage un bon mot du regretté Umberto Eco :
« Les réseaux sociaux ont donné le droit de parole à des légions d'imbéciles qui, avant, ne parlaient qu'au bar, après un verre de vin et ne causaient aucun tort à la collectivité. On les faisait taire tout de suite alors qu'aujourd'hui ils ont le même droit de parole qu'un prix Nobel. C'est l'invasion des imbéciles »
Docteur Isabelle Schiepers sur MediQuality
Pourquoi Signal (l'App de messagerie sécurisée) va retirer la prise en charge des SMS prochainement...
"Aujourd’hui, les pratiques collaboratives numériques peuvent permettre aux associations d’être plus réactives et efficaces, en actionnant des réseaux et des personnes plus rapidement, en facilitant l’implication de bénévoles ou de partenaires, en permettant de mieux répartir les pouvoirs et la responsabilité, en encourageant la transparence, etc.
Cependant, ces collectifs et associations sont parfois à la peine avec les outils numériques, qui permettent parfois (ce n’est pas systématique) d’accroître leur pouvoir d’agir. Notamment, elles disposent rarement de parcours de formation adaptés à leurs besoins ou leurs moyens et elles doivent composer avec des niveaux de compétences numériques très différents dans leurs structures.
Par ailleurs, même lorsqu’elles ont des connaissances et des facilités avec le numérique, elles sont poussées à utiliser des outils toxiques (ex : Google Workspace, Microsoft 365, Zoom, etc) dont elles n’ont pas réellement la maîtrise, et qui, surtout, sont rarement en cohérence avec leurs objectifs et leurs valeurs.
Formulé autrement : les associations sont souvent consommatrices d’un numérique pensé par des acteurs qui veulent créer un monde dont les associations ne veulent pas. La réciproque est aussi vraie : le monde rêvé par ces acteurs du numérique ne veut pas d’associations puissantes, politiques, proposant d’autres façons de vivre ensemble.
En effet ces entreprises (notamment les GAFAM) ont une vision du monde très libérale où l’argent compte plus que la générosité. Où le succès compte plus que la solidarité. Où un profit immédiat vaut plus qu’un impact à long terme sur la planète."
Le gouvernement d’Olaf Scholz s’est accordé mercredi sur un cadre de légalisation du cannabis à usage récréatif pour adultes qui ferait de l’Allemagne l’un des pays les plus libéraux d’Europe, sous réserve toutefois de l’aval européen.
La production et le commerce du cannabis seront placés sous « contrôle public » ainsi que l’achat et la possession « d’une quantité maximum de 20 jusqu’à 30 grammes » seront autorisés pour la consommation personnelle, a détaillé le ministre de la Santé Karl Lauterbach lors d’une conférence de presse. (…)
Le ministre a justifié cette réforme par la volonté d' »obtenir une meilleure protection des enfants et des jeunes« , jugeant la politique actuelle inefficace, dans un contexte d’augmentation de la consommation de cannabis.(…)
Dans le détail, le document adopté mercredi prévoit « un contrôle public de la chaîne d’approvisionnement » en cannabis avec l’objectif de « garantir la protection sanitaire et d’enrayer la criminalité organisée ainsi que le marché noir« . Il organise « la production, la livraison et le commerce de cannabis récréatif dans un cadre de licences contrôlées par l’Etat« . Il autorise aussi la culture de trois pieds de cannabis par adulte pour un usage personnel.
Sa vente sera « strictement contrôlée« , les vendeurs n’auront pas le droit de faire de la publicité et l’emballage devra informer des risques et rester « neutre« . « Nous ne voulons pas faire les mêmes erreurs qu’avec l’alcool ou le tabac (…) ».