Sanipasse (https://sanipasse.fr/) est un logiciel libre de vérification des certificats de test ou de vaccination, et d'organisation d’événements respectueux des règles sanitaires.
Présentation du service dans un article publié sur Linuxfr :
https://linuxfr.org/news/sanipasse-le-deconfinement-libre
Freenode staff have stepped down. The network that runs at freenode.org/net/com should now be assumed to be under control of a malicious party. Andrew Lee will likely gain control over the NickServ database at some point.
I recommend that you move to libera.chat as soon as possible, as the former Freenode staff has left the network that exists on the Freenode domains, and so they can no longer guarantee the safety of your information or community there. Basically, libera.chat is the continuation of Freenode.
Pour pouvoir recentrer le débat des politiques drogues sur des bases scientifiques et non idéologiques, il est aussi important d’identifier les arguments qui pourraient être utilisés par les adversaires de la légalisation et y répondre sereinement.
Voici quelques exemples et contre arguments.
Les autorités israéliennes commettent les crimes contre l’humanité d’apartheid et de persécution, a déclaré Human Rights Watch dans un rapport rendu public aujourd’hui. Cette conclusion se fonde sur une politique globale du gouvernement israélien qui vise à maintenir la domination des Israéliens juifs sur les Palestiniens, et sur de graves abus commis contre les Palestiniens vivant dans le territoire occupé, y compris Jérusalem-Est.
Le rapport de 213 pages, intitulé « A Threshold Crossed: Israeli Authorities and the Crimes of Apartheid and Persecution » (« Un seuil franchi : Les autorités israéliennes et les crimes d’apartheid et de persécution » - résumé en français), examine le traitement réservé aux Palestiniens par Israël.
La police israélienne tire en fait sur les manifestants palestiniens des balles d’acier, recouvertes d’une pellicule de caoutchouc et capables d’infliger de graves blessures.
On entend encore aujourd’hui les phrases suivantes : « On ne sait pas ce qu’il y a dedans » ou encore « C’est plein de produits chimiques ». Pour ce numéro spécial, 10 ans de vape, c’est l’occasion de présenter quelques études sur le sujet depuis 2010. Oui ! Déjà une dizaine d’années que des scientifiques se penchent sur la cigarette électronique. Impossible ici de toutes les présenter, elles sont tellement nombreuses, mais voici une petite sélection et leur conclusion. À faire lire aux « Si ça se trouve, c’est pire que la clope ! ».
Plusieurs événements d’actualité ont ravivé le spectre du « profilage » des Belges par l’Etat. A tort ?
« Mais non, ce projet existe déjà. Et de manière très aboutie. L’outil s’appelle « Oasis » (NDLR, Organisation Anti-fraude des Services d’inspection sociale). Il est fonctionnel depuis 2005. Il s’agit d’une centralisation de nombreuses données de l’ONSS, de l’Onem, du SPF Sécurité sociale et du SPF Emploi. Non seulement on centralise, mais on applique des algorithmes qui vont tenter de deviner le comportement des citoyens et trouver des noms de personnes suspectées de fraude sociale. C’est du profilage.
En réalité, cette base de données n’est créée par aucune loi, ni arrêté royal. Et on ne trouve que très peu d’informations à son propos, si ce n’est par hasard en farfouillant dans des documents de l’administration. Rien sur le site de la Banque Carrefour de la Sécurité sociale (BCSS), ni de l’ONSS. Quand on s’adresse à l’administration, on ne reçoit que quelques informations parcellaires, mais jamais la copie des algorithmes, ni même d’information claire à leur sujet.
On apprend par contre, documents publics à l’appui, qu’Oasis va être prochainement remplacé par le projet « Big data Analytics Platform ». Le marché, estimé à 6,75 millions d’euros, a été attribué par la Smals (NDLR, l’ASBL informatique de l’Etat) à Deloitte Consulting & Advisory le 9 juillet 2019.
(...)
On ne peut pas exclure qu’il n’y a pas d’erreurs. Ni les employeurs ni les travailleurs ne peuvent vérifier ces données. On ne sait même pas que ça existe. Ce qui amène parfois à cibler des gens qui n’ont rien fait. Et celui qui est visé par un algorithme ne va pas comprendre pourquoi il se retrouve dans le radar. Les inspecteurs eux-mêmes disent ne pas comprendre pourquoi ils vont contrôler tel employeur plutôt qu’un autre. On n’a pas la main sur l’outil. Il y a juste un ordinateur qui vous crache des noms. »
La Norvège pourrait bientôt disposer d’une des législations sur les stupéfiants les plus libérales d’Europe, et même du monde. Si le projet de loi, élaboré par le gouvernement de centre droit et examiné par les députés depuis le 16 mars, est adopté, l’achat, la possession et l’usage d’une dizaine de drogues – dont le cannabis, la cocaïne et l’héroïne – seront dépénalisés. En petite quantité, certes. Mais suffisamment pour que la réforme, présentée comme « la plus radicale socialement depuis des décennies », suscite un débat de société.
Intitulé « De la punition à l’aide », le projet de loi plaide en faveur d’un changement de paradigme : privilégier le dialogue à la sanction.
La science pathologique, c’est un processus psychologique dans lequel un.e scientifique qui, à l’origine, respectait la méthode scientifique, commence à s’écarter progressivement de cette méthode et s’entête à interpréter ses travaux à sa façon.
On dit que ce processus est « pathologique » parce que ça devient une obsession. La personne est incapable d’admettre ses erreurs, même si tout indique qu’elle a tort.
"(...) Contrairement à ce que croit l'"honnête citoyen", pour qui les détenus méritent bien leur sort, la population carcérale n'est pas faite de voyous avec du sang sur les mains et des morts sur la conscience, mais bien, pour l'essentiel, de pauvres, d'exclus, de paumés... (...) Les gens qui y croupissent ou qu'on y renvoie à répétition sont des accidentés de la vie, des laissés pour compte, auxquels s'agglomèrent, certes quelques caïds, mais surtout une grosse proportion de petits revendeurs de cannabis et d'autres substances qualifiées d'illicites, outre des toxicomanes qui ont perdu pied. (...) Les pays qui ont éradiqué la grande misère, notamment par une protection sociale large et solide, et ceux qui ont légalisé les drogues en substituant à la prison un traitement socio-médical, ont vu leurs prisons littéralement se vider."
Carte-blanche de Jean-Marie Dermagne, avocat, ancien bâtonnier - Porte-parole du Syndicat des avocats pour la démocratie (SAD), parue dans Le Vif (10/03/2021)
"Si l'on admet que la complexité de notre système éducatif nuit à son efficacité, la question est de savoir si la solution est de le confier davantage au privé en le subventionnant autant que le public, ou plutôt de refondre sa structure en profondeur afin de rassembler toutes les écoles au sein d'un réseau scolaire unique et public, transparent, seul à être financé, et exclusivement financé, par les pouvoirs publics."
Une vidéo du virologue de la KULeuven Marc Van Ranst, s’exprimant sur la gestion médiatique des épidémies de grippes, a suscité énormément de réactions. Dans celle-ci, publiée il y a deux ans, il détaille les moyens mis en œuvre, alors qu’il était commissaire interministériel pour la gestion de crise pendant la pandémie de grippe porcine (H1N1) en 2009, pour occuper l’espace médiatique.
Certains observateurs y voient une démonstration de la façon dont les experts se servent des médias pour manipuler l’opinion publique. Est-ce vraiment le cas ?
La COVID-19 se propage comme un feu de forêt. Les solutions doivent se propager plus rapidement encore. Personne n’est en sécurité tant que tout le monde n’a pas accès à des traitements et des vaccins sûrs et efficaces.
Nous avons tous droit à la protection.
Signez cette initiative citoyenne européenne et garantissez que la Commission européenne fait tout pour faire des vaccins et des traitements anti-pandémiques un bien public mondial, librement accessible à tous.
On parle beaucoup de droits du patient. Quels sont ses devoirs ?
Michel Dupuis: Effectivement, notre loi ne dit rien d’explicite sur les obligations du patient et, par exemple, les questions de solidarité. Elle s’arrête à la notion de « meilleurs soins possibles » pour un patient, elle n’aborde pas la « concurrence » entre patients. Je suis pour une politique la plus transparente possible, y compris en termes de devoirs. À ce propos, un concept intéressant a été dégagé il y a une vingtaine d’années en Afrique subsaharienne : le paradigme du « patient victime-vecteur ». Dans une situation à haute contagiosité, où les ressources sont rares, le patient est d’abord victime, donc il a le droit d’être pris en charge. Mais il n’est pas que victime, il est aussi vecteur. Autrement dit, il transmet, il contamine… Or, la loi sur les droits du patient pose seulement qu’il a le droit de refuser des soins. Ce qui lui donne l’occasion de décliner la vaccination, la mise en quarantaine, etc. S’ouvre alors un dossier bien moins politiquement correct autour de la responsabilité citoyenne. Pour moi, c’est l’une des grandes leçons de cette pandémie : à côté du devoir de compassion envers les personnes victimes, il y a aussi la responsabilité individuelle, citoyenne, qui implique une forme d’obligation à respecter les mesures sanitaires. C’est compliqué, cela rappelle des émotions archi-conservatrices autour des questions de « discipline ». Ce mot est extrêmement dangereux, et pourtant… Quand on a pensé la démocratie sanitaire, on a mis en scène la liberté des citoyens, la déclaration quasi universelle des citoyens-patients qui ont un certain nombre de droits, mais on a oublié qu’une démocratie comprend également l’obligation de respecter des normes, certains comportements.
Dans cet article, nous allons déchiffrer caractère après caractère le code source du vaccin SARS-CoV-2 à ARN messager (ARNm) de BioNTech
La grande journaliste du Monde, Stéphane Horel, se prend les pieds dans le tapis en inventant un complot des lobbys de la vape.
"Supposons un journaliste belge spécialisé dans les affaires du Proche Orient, qui publierait des informations embarrassantes pour Israël, que Jérusalem estimerait compromettantes pour sa sécurité nationale … De passage dans un pays africain redevable à Israël, ce journaliste serait interpellé à la demande d’Israël qui requerrait son extradition …
"A moins que ce même journaliste belge, ou anglais, ou français ou africain ou indien, ne publie des informations extrêmement embarrassantes pour l’Arabie saoudite, qui saisirait l’occasion de son passage dans un autre état du golfe ou en Egypte pour demander son arrestation et son extradition …
"Ou encore un journaliste américain publiant des informations très confidentielles sur des opérations secrètes criminelles de l’armée indienne et que New Delhi tente de faire arrêter et extrader lors d’un voyage par exemple en Thaïlande …
"Voilà ce qui pend au nez de tous les journalistes si Julian Assange, journaliste australien, arrêté en Grande-Bretagne, est extradé de la Grande-Bretagne vers les Etats-Unis pour avoir, comme responsable de Wikileaks, publié des informations que les Etats-Unis estiment dommageables pour leur sécurité.
"Le personnage du Père Fouettard est intimement lié à cette histoire de l'esclavage et de la colonisation où les hommes blancs s'affublent de servants qui sont infantilisés et considérés comme leur propriété."