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Big Tech’s power is not just due to their size, but because they collect, control and monetise the very information we need for markets to function. They have become markets unto themselves. Reining them will require thinking that goes beyond regulation.
La version française du webcomic « Contra Chrome » de Leah McCloud vient de sortir ! À lire et télécharger gratuitement sur https://contrachrome.com
Sous-titre : Comment le navigateur de #Google devint une menace pour la vie privée et la #démocratie.
Il fut un temps où Google était un moteur de recherche. Aujourd'hui, c'est aussi un moteur de réponse. Et la place laissée pour le reste du web est de plus en plus mince.
Chrome, de navigateur internet novateur et ouvert, est devenu au fil des années un rouage essentiel de la domination d’Internet par Google.
En théorie, on pourrait fermer les yeux sur ces mauvaises pratiques si l’entreprise impliquée avait un bon bilan sur la gestion des données personnelles. En pratique cependant, Google est structurellement flippant, et ils n’arrivent pas à changer.
‘Surveillance is the business model of the internet,’ Berkman and Belfer fellow says
Le tribunal administratif a jugé illégal le redressement fiscal que la France a imposé à Google, qui pratique à outrance l'optimisation fiscale en Europe. Plutôt que de poursuivre la bataille judiciaire avec ses arguments, le gouvernement a annoncé une "transaction" pour régler le différend fiscal. Jean-Yves Archer, spécialiste des finances publiques et dirigeant du cabinet Archer, décrypte pour "FranceSoir" en quoi cette décision, où le contribuable sera sans doute perdant, est l'incarnation d'un "deux poids, deux mesures" inquiétant.
With our latest addition to Google we try to experiment with fortune-telling. Based on your previous search results and your profile, we try to make a good prediction of your future.
" Les experts du projet Mobilitics se sont penchés sur les pratiques de Google [...]. «On savait qu’il y avait une collecte de données par les applications et par Google. Mais ce qu’on n’avait pas imaginé, c’était l’ampleur de la collecte. C’est affolant.» "
« Bientôt, a déclaré l’ ex-PDG de Google, Éric Schmidt, on ne demandera plus à Google de faire une recherche, mais quelle est la prochaine chose que je dois faire ? En effet, dans son imagination débordante, Google organise notre vie entière. Il faut dire que depuis peu Google se consacre à l’étude de la formation de la volonté humaine, grâce au projet Google Brain. »
Via FS
« Qu’on m’explique. Pourquoi les opposants au projet de loi renseignement acceptent-ils que Facebook, Google ou Twitter sachent tout de leur vie ? » [...]
Des personnes bien intentionnées ont essayé de lui répondre, sur le thème « Google et Facebook n’ont pas de prérogatives de puissance publique, pas le monopole de la violence légitime, nous ne risquons que la publicité ciblée ». Cette réponse paraissait un peu courte (Twitter oblige). [...]
Deux livres [de Franck Leroy] permettent d’éclairer ce débat : « Réseaux sociaux et Cie » (2013) et « Surveillance. Le risque totalitaire » (2014). Deux bouquins symétriques sur les pratiques de l’Etat (surtout les Etats-Unis) et celles des entreprises privées (surtout américaine). [...]
Entretien.
" Et une équipe de psychologues de l’Université Yale, aux États-Unis, vient aujourd’hui apporter de l’eau à ce moulin en démontrant que les utilisateurs d’un moteur de recherche finissent, à la longue, par se croire plus érudits qu’ils ne le sont."
"Vous pensiez obtenir des données objectives lors de vos recherches sur Google ? Détrompez-vous ! Dans de nombreux cas, Google s’adapte au contexte politique, et donne au lecteur ce qui est conforme à la vision de son pays."
Une initiative du réseau Framasoft en faveur d'un internet libre, décentralisé, éthique et solidaire.
Ah c’est sûr, tout le monde n’a pas la chance de pouvoir refuser une telle opportunité… Quand on est développeur de haut niveau, c’est plus que flatteur de recevoir une invitation à discuter d’un poste de responsabilité chez le mastodonte du Net. Pour les milliers de développeurs qui sont bien payés à coder pour des produits qui ont des millions (voire des milliards ?) d’utilisateurs, il est assez exaltant de travailler pour Google.
Pourtant, quand Niklas reçoit un message l’invitant à rejoindre une équipe d’ingénieurs chez Google, il a le front de décliner, dans une lettre ouverte où il explique ses raisons.