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Tiffin est une lunchbox intelligente et écologique qui donne accès à des repas moins chers dans plusieurs restaurants à Bruxelles
Un documentaire transmédia sur la mendicité à Bruxelles.
Initiative du Forum Bruxellois de Lutte contre la Pauvreté
"Bpost a présenté ce mercredi son nouveau service CycloSafe, un dispositif de sécurité pourvu d’une puce électronique permettant d’identifier les vélos volés. A l’aide d’un scanner, les facteurs pourront localiser les deux-roues dérobés avant de le signaler à la zone de police concernée..."
http://geeko.lesoir.be/2014/09/17/bpost-lance-un-service-de-detection-des-velos-voles/
http://www.rtbf.be/info/societe/detail_le-facteurs-de-bpost-vont-pister-les-velos-voles?id=8357778
Quelle est l'utilité d'un tel dispositif? L'effet dissuasif? Plus dissuasif que de faire graver le cadre de son vélo?
Les vélos volés restent-ils vraiment dans la ville de leurs propriétaires?
Avec le vol massif de vélo que nous connaissons, on peut supposer qu'une bonne partie des vélos volés soient revendus à l'étranger, exportés par camions ou containers entiers... J'imagine mal qu'après un vol, on puisse retrouver son vélo dans le même quartier, attaché à nouveau avec un cadenas dans l'espace public...
Mais la project manager de bpost précise que les facteurs pourront "également faire des détours jusqu’aux parkings des gares". Je dois donc avoir tord ; si la Poste a connaissance que les parkings des gares sont connus pour être des planques de vélos volés...
Alors, la Poste sera-t-elle plus efficace que la police? Est-ce que cela changera quoique ce soit pour limiter le trafic de vol de vélo? On peut en douter.
J'ai oublié de préciser que ça coutait tout de même 30 euro pour ce gadget. De quoi rentabiliser le service de bpost?
Alors combien de mois ou d'années ce "service" sera-t-il maintenu? Combien de clients y croiront?
2003 BRUXELLES Une nouvelle catégorie d'usagers est créée dans le code de la route: ceux qui utilisent les patins à roulettes (ou rollers) et les trottinettes. De nouvelles règles de comportement sont établies. Et varient selon l'âge des usagers.
S'ils sont âgés de plus de 16 ans, ces usagers doivent utiliser les pistes cyclables. A défaut de pistes cyclables, en agglomération, ils peuvent emprunter le bord droit de la chaussée lorsque la vitesse des voiries est limitée à 30 km. Dans les zones 50 km/h, ils doivent emprunter le bord droit de la chaussée ou le trottoir ou encore l'accotement praticable. Hors agglomération, à défaut de piste cyclable, ils doivent circuler en priorité sur le trottoir ou l'accotement (à défaut, sur le bord droit de la route).
Les usagers de moins de 16 ans doivent emprunter le trottoir ou l'accotement. A défaut de trottoir ou d'accotement, ils peuvent utiliser la piste cyclable. Si aucun de ces aménagements n'existe, l'usage de ces engins leur est interdit, sauf dans les zones résidentielles, piétonnes ou réservées au jeu.
"Les Ateliers urbains sont heureux de vous présenter le premier et dernier numéro de leur journal « Banc public », sous-titré « tu peux t’asseoir dessus » ! Un journal unique, donc, également par le fait qu’il tourne autour d’un sujet principal : le mobilier urbain."
DOSSIER
Libre comme un piéton
L’aménagement de l’espace public en dit long sur la place qu’on laisse aux habitants dans une ville. Spécialisation, piétonisation, marchandisation... Analyse au
travers de cinq cas concrets : au quartier Léopold, dans le centre-ville, à la friche de Josaphat, et un peu partout, où le marketing urbain vise à renforcer l’attractivité touristique et résidentielle de notre région au détriment des plus pauvres.
Petit cadeau estival aux lecteurs : le dossier spécial est illustré en bandes dessinées.
Révoltant ! Mais le pire est encore... que ce n'est même pas étonnant quand on voit l’impunité des taximen face aux respects du code de la route et des autres usagers...
Car il y a vraiment un problème de ce coté. Vu le nombre important de taxis à Bruxelles, ils devraient être exemplaires, ce qui contribuerait sans doute à une meilleure mobilité. En pratique c'est l'inverse, ce sont "eux" les professionnels de la route, c'est leur terrain de jeu et lieu de travail. D'ailleurs, les taxis, sans abus de langage parlent bien de "courses" quand il s'agit d'aller chercher ou déposer un client. Ils sont vraiment là dedans, littéralement, pour arriver le premier (vis à vis de leurs pairs)...
Alors, quand ils boycottent des systèmes qui mettent en relation des particuliers qui veulent faire du co-voiturage ya de quoi se poser des questions...
La Région de Bruxelles-Capitale, conjointement avec le Parquet et deux zones de police bruxelloises, utilisera prochainement des vélos appâts afin de surveiller les vols de vélos et pouvoir intervenir plus rapidement si nécessaire. Les vélos appâts sont des vélos équipés d'une puce que la police peut suivre pour mieux répertorier les vols de vélos, annonce le secrétaire d'Etat bruxellois à la Mobilité, Bruno De Lille.
Diapo 12 : court docu sur La Masse Critique à Bruxelles
" L'étude confirme la supposition que la route parallèle le long de l'Avenue Louise est une 'rue cyclable' atypique , mais que ce statut peut attirer davantage de cyclistes.
Elle suggère de prendre davantage de mesures d'accompagnement comme l'installation de ralentisseurs de vitesse. "
Moi aussi je confirme cela et c'est absolument nécessaire! Car aucun automobiliste n'est au courant que la vitesse est limitée à 30km/h, qu'il ne peut dépasser les cyclistes, qui peut rouler sur toute la largeur. Rien n'indique tout cela d'ailleurs, si ce n'est le panneau "rue cyclable" et des peintures potaches au sol...
Le Plan Piéton bruxellois prévoit la création de 20 km de zones piétonnes en région bruxelloise d'ici 2018 et 40 km d'ici 2040. Quels sont les endroits que vous voulez voir transformés en piétonniers ? Participez à la réflexion, lancez vos propositions sur www.fr.40kmbru.be avant le 31 mars !
Quid si votre appartement est déclaré insalubre? Vous aurez p-e droit à des aides au logements et à une allocation de déménagement.
Convivence asbl s’attache à maintenir les habitants dans leurs quartiers et à améliorer l’état des logements à Bruxelles. Nous luttons pour l’accès à un logement décent et abordable pour tous les bruxellois.
Nos activités principales sont la lutte contre l’insalubrité, l’accompagnement social et technique des locataires et des propriétaires, l’éducation au logement, le conseil à la rénovation, et la mise en œuvre des contrats de quartier via l’information et la participation des habitants à des projets collectifs.